Le bureau exécutif du Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (RESTIC), alerte les autorités judiciaires sur le risque de faillite qui guette l’entreprise Koppar Express, depuis que l’actionnaire et prestataire, Seydou Ba, a été arrêté et placé sous mandat de dépôt.
C’est ce qu’on peut lire sur « Dakaractu ». «Le RESTIC implore les plus hautes autorités judicaires dont le parquet de Dakar, à revoir le dossier Seydou Bâ de Koppar Express afin de sauver son entreprise innovante, ses clients et surtout les emplois». À en croire ledit rassemblement, «les autorités judiciaires devraient opter pour le contrôle judiciaire» à l’encontre du dirigeant d’entreprise, soupçonné de financer, via Koppar Express, des activités de nature à compromettre la sécurité et à occasionner des troubles politiques graves.
« Le RESTIC demande donc aux plus hautes autorités, l’élargissement des fondateurs de Koppar Express et un meilleur cadre législatif qui protège les entrepreneurs du digital et du numérique pour le développement de leur business model, autour de l’innovation financière et technologique».
Pour rappel, Koppar Express est une fintech créée par des Sénégalais qui regroupe sur une seule plateforme, des services de rechargement téléphonique, d’abonnement de forfait mobile, de financement participatif en ligne (collecte de fonds, tontine) et de paiements de facture, de scolarité et de salaire). Et selon le RESTIC, « Koppar Express est une vitrine dans notre écosystème des fintechs et son dirigeant et ses fondateurs sont donc des entrepreneurs et innovateurs qu’il faut incuber, financer et protéger, dans le respect des lois en vigueur dans notre pays. Une manière pour notre pays de capitaliser sur notre diaspora, dont certains et certaines possèdent des formations pointues. À l’instar de beaucoup de nos compatriotes, Koppar Express pouvait migrer vers d’autres pays de la sous-région, mais ils ont préféré leur pays d’origine dans le but de dynamiser le tissu entrepreneurial local avec la DER et le FONGIP et d’autres véhicules de financement pour les start-up ».
Le Témoin
C’est ce qu’on peut lire sur « Dakaractu ». «Le RESTIC implore les plus hautes autorités judicaires dont le parquet de Dakar, à revoir le dossier Seydou Bâ de Koppar Express afin de sauver son entreprise innovante, ses clients et surtout les emplois». À en croire ledit rassemblement, «les autorités judiciaires devraient opter pour le contrôle judiciaire» à l’encontre du dirigeant d’entreprise, soupçonné de financer, via Koppar Express, des activités de nature à compromettre la sécurité et à occasionner des troubles politiques graves.
« Le RESTIC demande donc aux plus hautes autorités, l’élargissement des fondateurs de Koppar Express et un meilleur cadre législatif qui protège les entrepreneurs du digital et du numérique pour le développement de leur business model, autour de l’innovation financière et technologique».
Pour rappel, Koppar Express est une fintech créée par des Sénégalais qui regroupe sur une seule plateforme, des services de rechargement téléphonique, d’abonnement de forfait mobile, de financement participatif en ligne (collecte de fonds, tontine) et de paiements de facture, de scolarité et de salaire). Et selon le RESTIC, « Koppar Express est une vitrine dans notre écosystème des fintechs et son dirigeant et ses fondateurs sont donc des entrepreneurs et innovateurs qu’il faut incuber, financer et protéger, dans le respect des lois en vigueur dans notre pays. Une manière pour notre pays de capitaliser sur notre diaspora, dont certains et certaines possèdent des formations pointues. À l’instar de beaucoup de nos compatriotes, Koppar Express pouvait migrer vers d’autres pays de la sous-région, mais ils ont préféré leur pays d’origine dans le but de dynamiser le tissu entrepreneurial local avec la DER et le FONGIP et d’autres véhicules de financement pour les start-up ».
Le Témoin