Les migrants de retour basés au Fouladou ne voient pas du tout la vie en rose. Ils sont montés au créneau pour dénoncer leurs mauvaises conditions de vie dans toute la région de Kolda, où disent-ils, «nous sommes mal assistés et mal accompagnés». Parmi leurs difficultés listées, il y a l’accès au foncier, aux matériels et intrants agricoles, selon le président de l’Association des migrants de retour.
Méta Baldé ajoute, avec amertume : «La lenteur constatée dans le financement des projets des migrants revenus au bercail et des candidats potentiels, a fini d’installer un sentiment de découragement dans les rangs de la jeunesse». Sur la question du financement des projets des migrants, Méta Baldé a, dans son allocution, fait cas d’une pluie de milliards en provenance de partenaires comme l’Union européenne pour lutter contre les migrations irrégulières. Sur ces sommes englouties, «la cible ne voit pas grand-chose», a-t-il pesté.
Le président de l’Association des migrants de retour en veut pour preuve, un financement de 1000 migrants annoncé par le biais du Baos. Ce qui a permis à «2 315 jeunes migrants de retour et migrants potentiels porteurs de projet, de constituer leurs dossiers». Mais à l’arrivée, «seules 60 demandes sont satisfaites. C’est très peu par rapport à la masse des demandeurs de financement», déplore Méta Baldé.
Face aux différentes autorités, il invite les responsables en charge de la question des migrants, à mieux prendre en charge les préoccupations de cette cible, «qui fait intervenir différentes Ong ou structures sans que la question ne soit résolue».
Il faut signaler que la galère de certains migrants de retour avait été étalée sur la place publique à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des Migrants, le 18 décembre dernier. Devant un parterre d’autorités, ces migrants de retour avaient profité de cette tribune pour décrier leur mal-vivre. Ue mal-vivre qui pousserait certains à reprendre les chemins de la migration, surtout clandestine, en compagnie d’autres migrants potentiels, qui continuent de se plaindre de ce qu’ils appellent «les difficultés de la vie au Sénégal».
Dans la capitale du Fouladou, différentes structures interviennent dans la lutte contre la migration irrégulière, sans que le phénomène se soit estompé. Ce qui pousse certains observateurs à s’interroger sur les véritables missions de ces Ong ou structures impliquées dans la lutte contre ce phénomène.
Méta Baldé ajoute, avec amertume : «La lenteur constatée dans le financement des projets des migrants revenus au bercail et des candidats potentiels, a fini d’installer un sentiment de découragement dans les rangs de la jeunesse». Sur la question du financement des projets des migrants, Méta Baldé a, dans son allocution, fait cas d’une pluie de milliards en provenance de partenaires comme l’Union européenne pour lutter contre les migrations irrégulières. Sur ces sommes englouties, «la cible ne voit pas grand-chose», a-t-il pesté.
Le président de l’Association des migrants de retour en veut pour preuve, un financement de 1000 migrants annoncé par le biais du Baos. Ce qui a permis à «2 315 jeunes migrants de retour et migrants potentiels porteurs de projet, de constituer leurs dossiers». Mais à l’arrivée, «seules 60 demandes sont satisfaites. C’est très peu par rapport à la masse des demandeurs de financement», déplore Méta Baldé.
Face aux différentes autorités, il invite les responsables en charge de la question des migrants, à mieux prendre en charge les préoccupations de cette cible, «qui fait intervenir différentes Ong ou structures sans que la question ne soit résolue».
Il faut signaler que la galère de certains migrants de retour avait été étalée sur la place publique à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des Migrants, le 18 décembre dernier. Devant un parterre d’autorités, ces migrants de retour avaient profité de cette tribune pour décrier leur mal-vivre. Ue mal-vivre qui pousserait certains à reprendre les chemins de la migration, surtout clandestine, en compagnie d’autres migrants potentiels, qui continuent de se plaindre de ce qu’ils appellent «les difficultés de la vie au Sénégal».
Dans la capitale du Fouladou, différentes structures interviennent dans la lutte contre la migration irrégulière, sans que le phénomène se soit estompé. Ce qui pousse certains observateurs à s’interroger sur les véritables missions de ces Ong ou structures impliquées dans la lutte contre ce phénomène.