La dépouille du quinquagénaire a été découverte dans la matinée, près de la maison où vivait son épouse avec laquelle il est en instance de divorce, a appris l’Aps auprès de la Brigade des sapeurs-pompiers de Khombole. C’est près de cette maison qu’il aurait agressé sa femme.
Le corps a été transféré à l’hôpital régional de Thiès, pour les besoins de l’autopsie, qui va déterminer les causes de son décès.
Un voisin de la femme a confié à la presse que l’homme aurait bu un produit nocif pour se donner la mort, croyant avoir tué son épouse. Celle-ci présentait des blessures multiples au cou, au bassin et au thorax, selon les constatations des pompiers.
Son pronostic vital était ‘’bon’’ au moment de son évacuation le même jour du centre de santé Fiacre-Coly de Khombole, où elle était admise pour les premiers soins, vers l’hôpital régional de Thiès, a dit à l’Aps, le médecin-chef du district, le Docteur Sitor Ndour.
‘’Elle était consciente et parlait’’, a-t-il ajouté, précisant toutefois qu’avec ce genre de blessures, ‘’la situation peut changer du jour au lendemain’’, puisqu’il peut y avoir des saignements internes si des organes profonds sont touchés.
Selon son témoignage, le mari en instance de divorce d’avec son épouse et n’ayant pas digéré la séparation, avait tenté une première fois de s’en prendre à elle, avec une machette. Elle n’avait dû son salut qu’à l’intervention des voisins.
La gendarmerie a ouvert une enquête, pour élucider cette affaire.
Le corps a été transféré à l’hôpital régional de Thiès, pour les besoins de l’autopsie, qui va déterminer les causes de son décès.
Un voisin de la femme a confié à la presse que l’homme aurait bu un produit nocif pour se donner la mort, croyant avoir tué son épouse. Celle-ci présentait des blessures multiples au cou, au bassin et au thorax, selon les constatations des pompiers.
Son pronostic vital était ‘’bon’’ au moment de son évacuation le même jour du centre de santé Fiacre-Coly de Khombole, où elle était admise pour les premiers soins, vers l’hôpital régional de Thiès, a dit à l’Aps, le médecin-chef du district, le Docteur Sitor Ndour.
‘’Elle était consciente et parlait’’, a-t-il ajouté, précisant toutefois qu’avec ce genre de blessures, ‘’la situation peut changer du jour au lendemain’’, puisqu’il peut y avoir des saignements internes si des organes profonds sont touchés.
Selon son témoignage, le mari en instance de divorce d’avec son épouse et n’ayant pas digéré la séparation, avait tenté une première fois de s’en prendre à elle, avec une machette. Elle n’avait dû son salut qu’à l’intervention des voisins.
La gendarmerie a ouvert une enquête, pour élucider cette affaire.