Il est établi, aujourd’hui, que Beli Saha group et Yelhi technology Africa ne font qu’une puisqu’elles appartiennent à la même personne : le docteur Biyen Beli. Le gérant de Yelhi technology Africa se nomme Théophile Bama et son nom apparaît aussi dans la structure des deux sociétés montées pour servir de «couverture» à Beli Sasha group à Dakar, poursuit le canard de Cheikh Mbacké Guissé.
Autre fait qui intrigue : quelques jours seulement avant la signature de la convention, Beli Sasha Sénégal Sarl-B.S.Group. Senegal Sarl a vu le jour, le 21/12/2011, sous le registre de commerce SnDkr2011B16413 avec comme adresse Zone industrielle Km3 Nord Colobane.
Son objet social ? La «fabrication de matériaux de construction (pavés, bordures, briques, tuiles, carreaux etc.); le génie civil et tous travaux publics; l’étude ; la coordination et le suivi des chantiers ; l’exécution ; le suivi et l’entretien de forages», selon les statuts obtenus par Libération.
Son gérant est justement Théophile Bama. Des jours auparavant, une autre structure était montée : Beli Sasha group Succursale. Logée à la Cité Apecsy 2 Villa numéro 361, elle a été créée le 15/11/2011 et son gérant est encore le fameux Théophile Bama.
Sauf que, cette fois- ci, l’objet social a changé : «confection de briques ; tuiles pavés ; carreaux etc ; import- export de tous matériaux de construction ; génie civil et travaux publics ; étude, coordination et suivi des chantiers ; exécution, suivi et entretien de forage».
Et comme si cela ne suffisait pas, ajoute le journal, malgré son expertise chantée à gauche et à droite, il se trouve que Beli Sasha a sous-traité une grande partie des travaux à des entreprises locales dont certaines peinent, aujourd’hui, à livrer.
Mieux, tout récemment, les ouvriers engagés dans le cadre de ces travaux ont souffert le martyre, avant d’être payés. Or, Beli Sasha dispose d’un système de facturation qui ne fait l’objet d’aucun contrôle des services techniques appropriés. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition avec plus de détails.
Cette révélation de nos confrères de Libération va-t-elle glacer le sang de Khalifa Sall et des siens de plain-pied dans la croisade contre l’Etat, via le Ministère de l’Economie et des Finances qui refuse toujours à la Municipalité de Dakar l’emprunt obligataire de 20 milliards F Cfa ? Seuls le maire de la capitale sénégalaise et Dieu savent.
Autre fait qui intrigue : quelques jours seulement avant la signature de la convention, Beli Sasha Sénégal Sarl-B.S.Group. Senegal Sarl a vu le jour, le 21/12/2011, sous le registre de commerce SnDkr2011B16413 avec comme adresse Zone industrielle Km3 Nord Colobane.
Son objet social ? La «fabrication de matériaux de construction (pavés, bordures, briques, tuiles, carreaux etc.); le génie civil et tous travaux publics; l’étude ; la coordination et le suivi des chantiers ; l’exécution ; le suivi et l’entretien de forages», selon les statuts obtenus par Libération.
Son gérant est justement Théophile Bama. Des jours auparavant, une autre structure était montée : Beli Sasha group Succursale. Logée à la Cité Apecsy 2 Villa numéro 361, elle a été créée le 15/11/2011 et son gérant est encore le fameux Théophile Bama.
Sauf que, cette fois- ci, l’objet social a changé : «confection de briques ; tuiles pavés ; carreaux etc ; import- export de tous matériaux de construction ; génie civil et travaux publics ; étude, coordination et suivi des chantiers ; exécution, suivi et entretien de forage».
Et comme si cela ne suffisait pas, ajoute le journal, malgré son expertise chantée à gauche et à droite, il se trouve que Beli Sasha a sous-traité une grande partie des travaux à des entreprises locales dont certaines peinent, aujourd’hui, à livrer.
Mieux, tout récemment, les ouvriers engagés dans le cadre de ces travaux ont souffert le martyre, avant d’être payés. Or, Beli Sasha dispose d’un système de facturation qui ne fait l’objet d’aucun contrôle des services techniques appropriés. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition avec plus de détails.
Cette révélation de nos confrères de Libération va-t-elle glacer le sang de Khalifa Sall et des siens de plain-pied dans la croisade contre l’Etat, via le Ministère de l’Economie et des Finances qui refuse toujours à la Municipalité de Dakar l’emprunt obligataire de 20 milliards F Cfa ? Seuls le maire de la capitale sénégalaise et Dieu savent.
