Khalifa Sall était l’invité de l’émission Yoon Wi sur la rfm. Interpellé sur la crise au sein du Parti Socialiste avec la dualité au sommet entre lui et Ousmane Tanor Dieng, le maire de Dakar, est formel.
Selon lui, il n’y a plus de candidat naturel au Parti socialiste (PS). « Ousmane Tanor Dieng est élu Secrétaire général du Parti socialiste, laissons le faire son travail et partir. Chaque chose à son temps. Il n’y a plus de candidat naturel dans le Parti socialiste. Il faut un choix de la base. C’est ça nos textes. Incha allah (s’il plait à Dieu), le PS aura son candidat à la prochaine présidentielle. Le comité central l’a décidé. Il n’y a pas encore de décision contraire », fait-il comprendre.
Poursuivant dans ses explications, Khalifa Sall confie que les choses ont évolué. « Au début, les décisions venaient du sommet vers le bas, maintenant le centralisme est dépassé. Les décisions viennent du bas vers le haut. On ne peut pas interdire à la base de dire ce qu’elle pense. La mentalité des militants a évolué. Je ne revendique que le statut de militant dans le Parti socialiste parce que lorsque j’entrais dans le Parti socialiste, c’est moi qui ai acheté ma carte. Toutes les autres responsabilités, on me les a confiées », laisse-t-il entendre.
Selon lui, il n’y a plus de candidat naturel au Parti socialiste (PS). « Ousmane Tanor Dieng est élu Secrétaire général du Parti socialiste, laissons le faire son travail et partir. Chaque chose à son temps. Il n’y a plus de candidat naturel dans le Parti socialiste. Il faut un choix de la base. C’est ça nos textes. Incha allah (s’il plait à Dieu), le PS aura son candidat à la prochaine présidentielle. Le comité central l’a décidé. Il n’y a pas encore de décision contraire », fait-il comprendre.
Poursuivant dans ses explications, Khalifa Sall confie que les choses ont évolué. « Au début, les décisions venaient du sommet vers le bas, maintenant le centralisme est dépassé. Les décisions viennent du bas vers le haut. On ne peut pas interdire à la base de dire ce qu’elle pense. La mentalité des militants a évolué. Je ne revendique que le statut de militant dans le Parti socialiste parce que lorsque j’entrais dans le Parti socialiste, c’est moi qui ai acheté ma carte. Toutes les autres responsabilités, on me les a confiées », laisse-t-il entendre.