Dans un entretien avec l’Observateur, le président collectif des lutteurs Khadim Gadiaga soutient : « Nous avions posé des actes pour montrer notre désaccord avec le CNG sur beaucoup de points. Nous avons même déposé une plateforme revendicative sur la table du ministre. Mais, nous avons l’impression que rien ne bouge et, nous avons décidé de reprendre le bras de fer de plus belle ».
Pour lui, « il est inconcevable que le CNG soit là depuis 25 ans, manipule l’argent de la lutte et ne rend pas compte aux acteurs de la lutte. Tout ce que cette structure fait à la fin de la saison, c’est de remettre un rapport d’activités à la tutelle. Elle donne aussi, un rapport financier sans toutes les pièces justificatives des entrées et sorties d’argent », regrette M. Gadiaga.
Le président du collectif semble être sûr de ces propos : « Je parle en connaissance de cause. A chaque fois que nous demandons comment le CNG dépense l’argent. On nous sert la même réponse », a-t-il dit et demande qu’on met en place, un règlement qui définit où doit ‘’rentrer l’argent’’, issue de la sanction pécuniaire, infligée aux lutteurs.
« Aujourd’hui, le Cng fonctionne comme une structure qui n’est là que pour couper de l’argent aux lutteurs. C’est comme si, nous sommes là pour payer la patente », précise Khadim Gadiaga.
Lui et ses amis haussent le ton et annonce une marche de protestation pour dégager le CNG, dirigé par Alioune Sarr. « Nous avions posé des actes. Le ministre nous a convoqués. Il a joué franc avec nous. Quand le ministre nous a demandé d’apaiser, nous le lui avons accordé. Mais, nous avions une dead line. Nous avons retenu que si, on arrive à la fin du moi et que rien n’est fait. Nous allons reprendre le combat. On est en octobre et rien ne semble bouger ». Et déclare que: « le collectif prépare une grande marche de protestation à la fin de ce mois. Un point de presse sera organisé ce jeudi pour annoncer le couleur ».
Le CNG demande que du ‘’sang neuf’’, a fait savoir le président du collectif et demande à Alioune Sarr de quitter le CNG. « Que Alioune Sarr se souvienne que Issa Hayatou (Caf), Sepp Blatter (Fifa) ont fini par quitter leur poste. Même Robert Mugabé (Président Zimbabwé) a quitté le pouvoir », laisse entendre le collectif.
Pour lui, « il est inconcevable que le CNG soit là depuis 25 ans, manipule l’argent de la lutte et ne rend pas compte aux acteurs de la lutte. Tout ce que cette structure fait à la fin de la saison, c’est de remettre un rapport d’activités à la tutelle. Elle donne aussi, un rapport financier sans toutes les pièces justificatives des entrées et sorties d’argent », regrette M. Gadiaga.
Le président du collectif semble être sûr de ces propos : « Je parle en connaissance de cause. A chaque fois que nous demandons comment le CNG dépense l’argent. On nous sert la même réponse », a-t-il dit et demande qu’on met en place, un règlement qui définit où doit ‘’rentrer l’argent’’, issue de la sanction pécuniaire, infligée aux lutteurs.
« Aujourd’hui, le Cng fonctionne comme une structure qui n’est là que pour couper de l’argent aux lutteurs. C’est comme si, nous sommes là pour payer la patente », précise Khadim Gadiaga.
Lui et ses amis haussent le ton et annonce une marche de protestation pour dégager le CNG, dirigé par Alioune Sarr. « Nous avions posé des actes. Le ministre nous a convoqués. Il a joué franc avec nous. Quand le ministre nous a demandé d’apaiser, nous le lui avons accordé. Mais, nous avions une dead line. Nous avons retenu que si, on arrive à la fin du moi et que rien n’est fait. Nous allons reprendre le combat. On est en octobre et rien ne semble bouger ». Et déclare que: « le collectif prépare une grande marche de protestation à la fin de ce mois. Un point de presse sera organisé ce jeudi pour annoncer le couleur ».
Le CNG demande que du ‘’sang neuf’’, a fait savoir le président du collectif et demande à Alioune Sarr de quitter le CNG. « Que Alioune Sarr se souvienne que Issa Hayatou (Caf), Sepp Blatter (Fifa) ont fini par quitter leur poste. Même Robert Mugabé (Président Zimbabwé) a quitté le pouvoir », laisse entendre le collectif.