Une tentative d'enlèvement agite Gaw Gua, un patelin niché à Louga. Trois jeunes hommes ont été arrêtés par la gendarmerie de Keur Momar Sarr. Les mis en cause, accusés d'avoir tenté de voler un bébé de 45 jours, ont été surpris dans la nuit de mardi à mercredi, dans la chambre où dormait le nourrisson, chez les Souané, rapporte "L'Observateur", repris par "Seneweb".
Celui-ci raconte : "les membres de la famille qui prenaient part à un baptême, ont laissé seul le bébé, couché sur le lit. Seulement, le nommé B. D. qui était allongé dans la cour de la maison, sous une moustiquaire, a braqué ses yeux vers la chambre éclairée par une lampe torche. Il remarque, poursuit "L'Observateur", une forme humaine faisant des mouvements autour du lit". Méfiant, B. D. décide de se rendre dans la chambre, pour avoir une idée plus précise sur la présence humaine, surtout à cette heure indue de la nuit.
D'après la source, après s'être approché "sur la pointe des pieds", il a surpris un des mis en cause en train de prendre l'enfant dans ses bras. Ce dernier était passé par la fenêtre, au moment où ses acolytes faisaient le guêt.
Ameuté par les cris de B. D., les voisins ont pourchassé les trois mis en cause. L'un d'eux nommé B. War, ivre comme un Polonais, a été rapidement rattrapé. Perdu par sa méconnaissance du village, un autre, B. Diop, récemment élargi de prison, a emprunté une impasse. Où il a été interpellé et conduit au domicile du chef de village, en compagnie de son complice B. War.
Le journal ne dit pas pourquoi mais affirme que les mis en cause ont été libérés par les populations locales, avant l'arrivée des pandores. Les gendarmes, déterminés à mener l'enquête, ont retrouvé le troisième complice, A. Watt, qui s'était réfugié à Richard-Toll.
Malgré leurs dénégations, ils ont tous été envoyés en prison, après avoir été déférés devant le Parquet de Louga, renseigne la source.
Celui-ci raconte : "les membres de la famille qui prenaient part à un baptême, ont laissé seul le bébé, couché sur le lit. Seulement, le nommé B. D. qui était allongé dans la cour de la maison, sous une moustiquaire, a braqué ses yeux vers la chambre éclairée par une lampe torche. Il remarque, poursuit "L'Observateur", une forme humaine faisant des mouvements autour du lit". Méfiant, B. D. décide de se rendre dans la chambre, pour avoir une idée plus précise sur la présence humaine, surtout à cette heure indue de la nuit.
D'après la source, après s'être approché "sur la pointe des pieds", il a surpris un des mis en cause en train de prendre l'enfant dans ses bras. Ce dernier était passé par la fenêtre, au moment où ses acolytes faisaient le guêt.
Ameuté par les cris de B. D., les voisins ont pourchassé les trois mis en cause. L'un d'eux nommé B. War, ivre comme un Polonais, a été rapidement rattrapé. Perdu par sa méconnaissance du village, un autre, B. Diop, récemment élargi de prison, a emprunté une impasse. Où il a été interpellé et conduit au domicile du chef de village, en compagnie de son complice B. War.
Le journal ne dit pas pourquoi mais affirme que les mis en cause ont été libérés par les populations locales, avant l'arrivée des pandores. Les gendarmes, déterminés à mener l'enquête, ont retrouvé le troisième complice, A. Watt, qui s'était réfugié à Richard-Toll.
Malgré leurs dénégations, ils ont tous été envoyés en prison, après avoir été déférés devant le Parquet de Louga, renseigne la source.