Le premier agresseur qui a succombé à ses blessures, vendredi, s’appelait Pape Dieng et le deuxième, qui a rendu l'âme samedi, s’appelait Boy Peulh. Parmi les blessés, le délégué du quartier qui est entre la vie et la mort. P. Dieng dont le corps a subi une autopsie sera inhumé ce lundi et ses parents menacent de déposer une plainte contre les riverains, accusés d’avoir battu à mort leur fils.
"Si on n’y prend garde, Keur Mbaye Fall va s’embraser dans les heures qui viennent, d’autant que les agresseurs et dealers veulent venger leur mort, tué par les riverains du quartier qui ont un comité de vigilance depuis trois ans", informe une source qui habite le quartier Darou Salam. "Ils ont gangrené la cité avec leur drogue et ils terrorisent les riverains. Les vies des gens sont en danger à cause d’eux et on ne se laissera plus faire. Ils avaient transformé notre quartier en un lieu intense de trafic de drogue et poussaient leur témérité jusqu'à violer beaucoup de nos femmes et personne n’osait intervenir. Ce lieu appelé Boutique Tigo faisait peur à tout le monde s’il devait passer par là. Ils sont tout le temps armés avec de couteaux, de coupe-coupes et autres machettes", se plaint un riverain.
La gendarmerie, qui a fait ses investigations, a procédé à des arrestations dans le camp des malfrats. L'un d'entre eux a été pris avec une cinquantaine de cornets de chanvre indien. Il a finalement été déféré à la police de Sicap Mbao.
"Si on n’y prend garde, Keur Mbaye Fall va s’embraser dans les heures qui viennent, d’autant que les agresseurs et dealers veulent venger leur mort, tué par les riverains du quartier qui ont un comité de vigilance depuis trois ans", informe une source qui habite le quartier Darou Salam. "Ils ont gangrené la cité avec leur drogue et ils terrorisent les riverains. Les vies des gens sont en danger à cause d’eux et on ne se laissera plus faire. Ils avaient transformé notre quartier en un lieu intense de trafic de drogue et poussaient leur témérité jusqu'à violer beaucoup de nos femmes et personne n’osait intervenir. Ce lieu appelé Boutique Tigo faisait peur à tout le monde s’il devait passer par là. Ils sont tout le temps armés avec de couteaux, de coupe-coupes et autres machettes", se plaint un riverain.
La gendarmerie, qui a fait ses investigations, a procédé à des arrestations dans le camp des malfrats. L'un d'entre eux a été pris avec une cinquantaine de cornets de chanvre indien. Il a finalement été déféré à la police de Sicap Mbao.