Avec la pénombre qui y règne, une bande de jeunes dictent sa loi et agresse tous ceux qui empruntent cette route. L’éclairage de la zone est inexistant malgré des poteaux et des lampes et la dissuasion des gendarmes même si elle existe, ne décourage pas les bandits. C’est dire que les usagers de cette route sont laissés à la merci de ces bandes lourdement armées et prêtes à tout pour les dépouiller.
Ce jeudi vers minuit quarante-cinq minutes (00h45) du matin, nous som¬mes tombés sur une scène qui relève de l’extraordinaire, digne d’être rangée dans la filmographie des larcins et bandits de grand chemin.
Une voiture de type Pick up est sortie de l’autoroute à péage, fait le rond-point pour emprunter le pont qui surplombe l’autoroute. A la descente du pont, un autre rond-point se présente au chauffeur qui rétrograde pour diminuer la force de la voiture afin de monter un dos d’âne pour engager un virage à droite.
C’est à ce moment qu’un jeune est sorti des buissons pour aborder la voiture au virage, ouvrir la portière avant et chiper le portable du monsieur qui était assis devant. Malgré des vitres remontées, des passagers sur le siège arrière du véhicule, le jeune agresseur n’a pas hésité à faire son coup. Le temps que les personnes assises derrière et le chauffeur réagissent, il s’est fondu dans la forêt classée.
Aux aguets, au niveau de l’amorce du virage au niveau du dos d’âne, on aperçoit des silhouettes dans le noir prêtes à attaquer à coup de machette et autres armes blanches si leur acolyte était pris. Un chauffeur de clando qui suivait de loin l’action avant d’arriver sur le rond-point demande aux passagers du Pick up de quitter les lieux parce que d’autres agresseurs sont tapis dans les buissons et autres arbres de la forêt.
Le marché ambulant des portables ravive-t-il l’agression à Keur Massar ?
L’indicateur le plus fiable de l’insécurité à Keur Massar est le nom¬bre d’agression et de vol de portable enregistré par les pandores. Les jeunes que l’on aperçoit aux alentours du pont en construction et des centres commerciaux en train de proposer des portables, toutes les marques confondues et sans garantie ni facture est-il l’arbre qui cache la forêt de cette délinquance des mineurs avec violence dans la commune de Keur Massar ?
La question mérite son pesant d’or puisque tout portable volé après agression des populations se retrouve pour la plupart entre les mains de ces jeunes qui commercialisent des portables à vil prix.
Les atteintes aux biens et la violence physique exercée sur des citoyens qui travaillent à la sueur de leur front est assez alarmiste. Les autorités administratives de Keur Massar et les forces de défense et de sécurité doivent trouver une solution définitive et durable à cette question. A cette vague d’agressions sur les personnes et les biens, le taux de criminalité risque de prendre l’ascenseur dans un contexte économique et social très difficile.
Les populations ont la boule au ventre en traversant la nuit certaine partie à cheval entre les communes de Keur Massar et Mbao. Il faut agir avant «le prochain Pick up», pour que cette agression et tant d’autres listées sur la table de la gendarmerie de Keur Massar ne soient vaines. Ces bandits savent que c’est une route très fréquentée qui permet de rejoindre Malika, Yeumbeul, Tivaouane Peulh, Niaga, Guédiawaye, Parcelles Assainies, Rufisque, etc. La sécurité doit y être permanente !
En attendant, les populations sont appelées à verrouiller les portières de leur voiture, à relever les vitres et d’éteindre portables et ordinateurs sur cet axe routier menant dans la commune de Keur Massar à partir de la route nationale 1 ou de l’autoroute à péage, pour «éviter» les dégâts.
Ce jeudi vers minuit quarante-cinq minutes (00h45) du matin, nous som¬mes tombés sur une scène qui relève de l’extraordinaire, digne d’être rangée dans la filmographie des larcins et bandits de grand chemin.
Une voiture de type Pick up est sortie de l’autoroute à péage, fait le rond-point pour emprunter le pont qui surplombe l’autoroute. A la descente du pont, un autre rond-point se présente au chauffeur qui rétrograde pour diminuer la force de la voiture afin de monter un dos d’âne pour engager un virage à droite.
C’est à ce moment qu’un jeune est sorti des buissons pour aborder la voiture au virage, ouvrir la portière avant et chiper le portable du monsieur qui était assis devant. Malgré des vitres remontées, des passagers sur le siège arrière du véhicule, le jeune agresseur n’a pas hésité à faire son coup. Le temps que les personnes assises derrière et le chauffeur réagissent, il s’est fondu dans la forêt classée.
Aux aguets, au niveau de l’amorce du virage au niveau du dos d’âne, on aperçoit des silhouettes dans le noir prêtes à attaquer à coup de machette et autres armes blanches si leur acolyte était pris. Un chauffeur de clando qui suivait de loin l’action avant d’arriver sur le rond-point demande aux passagers du Pick up de quitter les lieux parce que d’autres agresseurs sont tapis dans les buissons et autres arbres de la forêt.
Le marché ambulant des portables ravive-t-il l’agression à Keur Massar ?
L’indicateur le plus fiable de l’insécurité à Keur Massar est le nom¬bre d’agression et de vol de portable enregistré par les pandores. Les jeunes que l’on aperçoit aux alentours du pont en construction et des centres commerciaux en train de proposer des portables, toutes les marques confondues et sans garantie ni facture est-il l’arbre qui cache la forêt de cette délinquance des mineurs avec violence dans la commune de Keur Massar ?
La question mérite son pesant d’or puisque tout portable volé après agression des populations se retrouve pour la plupart entre les mains de ces jeunes qui commercialisent des portables à vil prix.
Les atteintes aux biens et la violence physique exercée sur des citoyens qui travaillent à la sueur de leur front est assez alarmiste. Les autorités administratives de Keur Massar et les forces de défense et de sécurité doivent trouver une solution définitive et durable à cette question. A cette vague d’agressions sur les personnes et les biens, le taux de criminalité risque de prendre l’ascenseur dans un contexte économique et social très difficile.
Les populations ont la boule au ventre en traversant la nuit certaine partie à cheval entre les communes de Keur Massar et Mbao. Il faut agir avant «le prochain Pick up», pour que cette agression et tant d’autres listées sur la table de la gendarmerie de Keur Massar ne soient vaines. Ces bandits savent que c’est une route très fréquentée qui permet de rejoindre Malika, Yeumbeul, Tivaouane Peulh, Niaga, Guédiawaye, Parcelles Assainies, Rufisque, etc. La sécurité doit y être permanente !
En attendant, les populations sont appelées à verrouiller les portières de leur voiture, à relever les vitres et d’éteindre portables et ordinateurs sur cet axe routier menant dans la commune de Keur Massar à partir de la route nationale 1 ou de l’autoroute à péage, pour «éviter» les dégâts.