C’est vers les coups de midi que le braquage est survenu. Le gérant venait, à peine, d’ouvrir le magasin lorsqu’un groupe de quatre individus fait irruption à l’intérieur et lui intime l'ordre de leur filer l’argent. Dans ces circonstances, le jeune panique, écarquille les yeux et tente d’alerter le voisinage. Les brigands brandissent des armes blanches, s’emportent et crachent du venin. Ils interpellent le gérant, l’insultent copieusement et menacent de lui faire la peau.
Sans succès, précise le journal "Les Echos" qui rapporte l'information. Ils pulvérisent des bombes asphyxiantes, empoignent le garçon et lui font avaler le gaz. La victime peine à respirer, toussote, s’affale et s’évanouit. Vu que ce dernier était seul dans le magasin, les malfaiteurs tiennent en respect les passants avec leurs armes blanches, font main basse sur 4 téléphones portables de valeur et se fondent dans la nature avec leur butin. Des gens accourent, assistent le pauvre gérant et l’aident à retrouver ses esprits.
Informé, le propriétaire du magasin constate les dégâts, embarque dans un véhicule avec son assistant et file droit déposer une plainte à la Gendarmerie de la localité.
Les braqueurs en plein jour en fuite, ont été clairement identifiés et reconnus par le gérant du magasin. A l’en croire, ces brigands avaient l’habitude de squatter les alentours de l’arrêt de car dénommé « Dibiterie ». « Je les ai bien reconnus et identifiés. Ils m’ont surpris dans le magasin avec des armes blanches et des pompes asphyxiantes… ». En attendant que les pandores coincent le gang de braqueurs, les populations se perdent en conjectures et expriment toute leur indignation et stupéfaction face à l’audace de ces malfrats.
Sans succès, précise le journal "Les Echos" qui rapporte l'information. Ils pulvérisent des bombes asphyxiantes, empoignent le garçon et lui font avaler le gaz. La victime peine à respirer, toussote, s’affale et s’évanouit. Vu que ce dernier était seul dans le magasin, les malfaiteurs tiennent en respect les passants avec leurs armes blanches, font main basse sur 4 téléphones portables de valeur et se fondent dans la nature avec leur butin. Des gens accourent, assistent le pauvre gérant et l’aident à retrouver ses esprits.
Informé, le propriétaire du magasin constate les dégâts, embarque dans un véhicule avec son assistant et file droit déposer une plainte à la Gendarmerie de la localité.
Les braqueurs en plein jour en fuite, ont été clairement identifiés et reconnus par le gérant du magasin. A l’en croire, ces brigands avaient l’habitude de squatter les alentours de l’arrêt de car dénommé « Dibiterie ». « Je les ai bien reconnus et identifiés. Ils m’ont surpris dans le magasin avec des armes blanches et des pompes asphyxiantes… ». En attendant que les pandores coincent le gang de braqueurs, les populations se perdent en conjectures et expriment toute leur indignation et stupéfaction face à l’audace de ces malfrats.