La police kenyane avait été déployée à l’Université d’agriculture et de technologie Jomo Kenyatta (JKUAT) dans la ville de Juja, au nord de la capitale, Nairobi, à la suite d’une manifestation des étudiants contre l’insécurité croissante.
L’inspecteur général de la police du Kenya, Hilary Mutyambai, a déclaré mardi dans un communiqué que les officiers n’avaient été déployés que pour «rétablir l’ordre».
Il a souligné que le déploiement a eu lieu après que des étudiants ont bloqué une route principale et ont commencé à «harceler les automobilistes et d’autres usagers de la route».
«Il est important de noter que tous les policiers ont reçu une formation rigoureuse et professionnelle sur la gestion des émeutes et des rassemblements illégaux. Le recours à la force doit être en respect à la loi et répondre nécessairement aux besoins de la justice», a-t-il ajouté.
Le ministre de l’Intérieur Fred Matiang’i, a déclaré lundi que des mesures seraient prises contre les officiers dans les 24 heures.
M. Mutyambai a déclaré que des enquêtes avaient été ouvertes et que tout policier reconnu «coupable» serait tenu responsable.
L’inspecteur général de la police du Kenya, Hilary Mutyambai, a déclaré mardi dans un communiqué que les officiers n’avaient été déployés que pour «rétablir l’ordre».
Il a souligné que le déploiement a eu lieu après que des étudiants ont bloqué une route principale et ont commencé à «harceler les automobilistes et d’autres usagers de la route».
«Il est important de noter que tous les policiers ont reçu une formation rigoureuse et professionnelle sur la gestion des émeutes et des rassemblements illégaux. Le recours à la force doit être en respect à la loi et répondre nécessairement aux besoins de la justice», a-t-il ajouté.
Le ministre de l’Intérieur Fred Matiang’i, a déclaré lundi que des mesures seraient prises contre les officiers dans les 24 heures.
M. Mutyambai a déclaré que des enquêtes avaient été ouvertes et que tout policier reconnu «coupable» serait tenu responsable.