Les dégâts matériels et les pertes se chiffrent à plusieurs millions de francs de FCFA. La brigade de gendarmerie de Mako a ouvert une enquête pour déterminer l’origine du sinistre jusque là inconnue.
Que s’est-il réellement passé ? Il résulte des premiers éléments de l’enquête que c’est le nommé Alcali, un un individu d’origine guinéenne, qui serait à l’origine du sinistre.
Il aurait pris une bouteille contenant de l’essence qu’il aurait versé sur la case de sa copine K. Diallo avant d’y mettre le feu. Son forfait accompli, il aurait pris la poudre d’escampette sans laisser de trace.
Sous l’effet du vent, le feu s’est propagé sur les habitations réduites en cendres. Même si aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée, le bilan est lourd et fait état de 320 cases appelées « Niafa » consumées.
Que s’est-il réellement passé ? Il résulte des premiers éléments de l’enquête que c’est le nommé Alcali, un un individu d’origine guinéenne, qui serait à l’origine du sinistre.
Il aurait pris une bouteille contenant de l’essence qu’il aurait versé sur la case de sa copine K. Diallo avant d’y mettre le feu. Son forfait accompli, il aurait pris la poudre d’escampette sans laisser de trace.
Sous l’effet du vent, le feu s’est propagé sur les habitations réduites en cendres. Même si aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée, le bilan est lourd et fait état de 320 cases appelées « Niafa » consumées.