Un prédateur sexuel sur Facebook âgé de 40 ans du nom de Sérigne D. Niasse est tombé dans les mailles de la gendarmerie de kébémer. Décrit comme maître chanteur, il choisit les réseaux sociaux pour appâter ses proies avant de filmer leurs ébats sexuels et faire des chantages sur la vidéo.
La gendarmerie de Kébémer a mis la main sur un prédateur sexuel sur net qui se connecte sous un pseudo de « Simone Sandré » et faisait le tour du pays pour avoir des proies faciles. Actuellement sous mandat de dépôt le gars est poursuivi pour collecte d’images à caractères pornographiques, chantage sexuel et extorsion de fonds.
Devant son écran d’ordinateur, il choisissait ses proies puis il envoie une demande d’amitié sur Facebook avec un faux profil et une image d’européenne. Une fois lié par un sentiment de confiance, le gars faisait miroiter à ses filles une somme de 500 euros au moins.
« Dissimulé derrière l’écran de son ordinateur, il parvenait à manipuler ses proies. Son modus-operandi, révélé par l’accusation, consistait à cibler des femmes sur Facebook en leur envoyant des demandes d’amitiés avec un faux profil. Simone Sandré était son Pseudo et il avait même poussé la supercherie en ajoutant la photo d’une Européenne. Une fois qu’elles avaient mordu à l’hameçon, le piège se refermait alors sur elles », rapporte l’obs.
Après les ébats sexuels il menace ses filles avec les vidéos obscènes. Puis il faisait un chantage pour que ses filles jouent une vidéo porno pour un autre gars. Mais sauf que c’est la même personne qui joue à ses dames un tour « il entrait de nouveau en scène, pour leur demander de jouer un film porno pour le compte d’un autre homme, sauf que c’était toujours lui, avec un profil différent. Et comme il fallait s’y attendre, il faisait chanter ses victimes », explique l’obs
Sous la menace les images nues des filles seront le mobile du chantage. Pour acheter sa discrétion «Serigne D. Niass est reproché d’utiliser la menace de divulguer leurs photos et vidéos où elles s’affichaient nues, si celles-ci ne lui versaient pas de l’argent en retour. D’autres fois, elles achetaient sa discrétion au prix fort de leurs corps, avec des faveurs sexuelles »
Pour le moment il est mis hors d’état de nuire à la gendarmerie de Kébémer en attendant le jugement