Après la pandémie du Covid-19 et ses conséquences dramatiques, place au paludisme ! Au moment de boucler cette édition tard dans la nuit d’hier (jeudi 01 décembre 2022) « Le Témoin » quotidien vous révèle que le paludisme est en passe de « décimer » la région de Kaolack.
La preuve, toutes les structures sanitaires comme l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass l’Infirmerie du camp militaire, le poste de santé de Sara Ndiougary, de Boustane et autres sont submergés. Faute de lits, des patients gravement atteints sont hospitalisés à…même le sol.
Au delà de la crise sociale due à la cherté des denrées alimentaires, les Kaolackois sont frappés de plein fouet par une autre crise sanitaire. «Depuis une semaine, pratiquement tous les membres de ma famille sont hospitalisés, les uns après les autres au poste de santé de Sara Ndiougary. J’ai dépensé entre 30.000 cfa et 40.000 cfa par personne pour une perfusion antipaludique communément appelée à Kaolack « Cocktail ou Diamante ». Dans certains cas graves, la perfusion reste et demeure le seul traitement de salut ! » déplore le vieux M. A. Diop, commerçant domicilié au quartier Boustane.
LeTémoin
La preuve, toutes les structures sanitaires comme l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass l’Infirmerie du camp militaire, le poste de santé de Sara Ndiougary, de Boustane et autres sont submergés. Faute de lits, des patients gravement atteints sont hospitalisés à…même le sol.
Au delà de la crise sociale due à la cherté des denrées alimentaires, les Kaolackois sont frappés de plein fouet par une autre crise sanitaire. «Depuis une semaine, pratiquement tous les membres de ma famille sont hospitalisés, les uns après les autres au poste de santé de Sara Ndiougary. J’ai dépensé entre 30.000 cfa et 40.000 cfa par personne pour une perfusion antipaludique communément appelée à Kaolack « Cocktail ou Diamante ». Dans certains cas graves, la perfusion reste et demeure le seul traitement de salut ! » déplore le vieux M. A. Diop, commerçant domicilié au quartier Boustane.
LeTémoin