Ainsi, soutenu par l’Institut de la Francophonie pour le développement (Ifdd), ce programme en dehors de sa spécificité d’appuyer le Sénégal à la réalisation de son programme d’analyse, suivi et de réduction des dépenses d’électricité du secteur public s’est fixé pour objectif de réduire les importantes pertes d’énergie liées à la consommation abusive de l’énergie, sans intérêt, au refus de résilier les contrats en cas de déménagement des locaux précédemment occupés, entre autres défis ou manquements favorisant aujourd’hui l’importance de la consommation en énergie et les innombrables pertes financières qui en découlent.
Une situation d’incompatibilité qui ne peut plus prospérer compte tenu du niveau de précarité, la limitation des revenus dans les ménages, surtout la cherté de la facture énergétique de l’État.
Ainsi, depuis la lecture de la lettre de politique de développement du secteur de l’énergie électrique publiée en 2012 et qui visait à réduire la facture de l’électricité à une baisse au double, l’Aeme a réussi à mobiliser une économie de plus de 65 milliards de francs sans aucun investissement sifflé au préalable.
Et ceci simplement à travers ses activités de contrôle, révision et collaboration avec Senelec.
Aujourd’hui, compte tenu d’une facture énergétique qui est passée de 30 Milliards de F CFA en 2014 à 53 milliards à nos jours, l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie se donne le privilège de définir et mettre en œuvre de nouvelles stratégies d’adaptation. Et cela, à travers un faisceau de perspectives comme installer dans chaque collectivité régionale des antennes de Relais pour renforcer sa proximité avec les populations locales, mettre en place une nouvelle plate-forme de données afin de mieux distiller les informations conformes à ses activités entre autres objectifs.
Sud Quotidien
Une situation d’incompatibilité qui ne peut plus prospérer compte tenu du niveau de précarité, la limitation des revenus dans les ménages, surtout la cherté de la facture énergétique de l’État.
Ainsi, depuis la lecture de la lettre de politique de développement du secteur de l’énergie électrique publiée en 2012 et qui visait à réduire la facture de l’électricité à une baisse au double, l’Aeme a réussi à mobiliser une économie de plus de 65 milliards de francs sans aucun investissement sifflé au préalable.
Et ceci simplement à travers ses activités de contrôle, révision et collaboration avec Senelec.
Aujourd’hui, compte tenu d’une facture énergétique qui est passée de 30 Milliards de F CFA en 2014 à 53 milliards à nos jours, l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie se donne le privilège de définir et mettre en œuvre de nouvelles stratégies d’adaptation. Et cela, à travers un faisceau de perspectives comme installer dans chaque collectivité régionale des antennes de Relais pour renforcer sa proximité avec les populations locales, mettre en place une nouvelle plate-forme de données afin de mieux distiller les informations conformes à ses activités entre autres objectifs.
Sud Quotidien