Tout est parti d’une sextape de Fama Ndiaye et de son petit ami. Pour savourer ce moment intime encore et encore, le jeune garçon a fait une vidéo qu’il envoie à sa dulcinée qui l’a jalousement sauvegardée dans son téléphone portable.
Un jour, son amie Ndèye Aïda War lui demande de lui prêter son téléphone afin qu’elle s’envoie des sons et vidéos, car elle avait perdu les données de son cellulaire après l’avoir réinitialisé. Devant l’insistance de son amie, Fama Ndiaye déverrouille son téléphone, avant de le remettre à Ndèye Aïda War, tout en insistant pour qu’elle ne fouille pas dans son compte personnel où il y a des données sensibles. La jeune lycéenne, curieuse, a voulu voir le contenu obscène que son amie lui interdit de regarder.
Dès lors que le téléphone était entre ses mains, elle entre dans les données personnelles et voit la vidéo de Fama Ndiaye en compagnie de son petit ami. Elle transfère la vidéo dans son téléphone avant de l’envoyer à ses autres camarades de classe. Fama Ndiaye est informée par ses amies de sa sextape qui fait le tour du net. Furieuse, elle s’en ouvre au Surveillant général, puis à ses parents.
La jeune fille devient alors la risée de toute l’école. Pour laver son honneur, Fama Ndiaye dépose une plainte contre Ndèye Aïda War pour diffusion de données personnelles. Devant la barre, la prévenue nie toute implication dans la diffusion de la sextape qui est au cœur de tous les débats à Kaolack.
Selon elle, la jeune fille voulait se dédouaner de son acte et cherche un coupable. Pour Ndèye Aïda War, son amie n’a aucune preuve de sa culpabilité et elle n’a rien fait de ce qu’on l’accuse. Pourtant le témoignage de Fatou Kiné Niang contredit la prévenue. Fatou Kiné Niang explique qu’elle a reçu la sextape par le biais de la prévenue Ndèye Aïda War. Pourtant, elle a consciemment regardé et envoyé la vidéo comme le confirme le témoin.
Après la réquisition contre la prévenue, le tribunal, a condamné Ndèye Aïda War à 3 mois de prison ferme. Un verdict qui sera lourd de conséquences.
Un jour, son amie Ndèye Aïda War lui demande de lui prêter son téléphone afin qu’elle s’envoie des sons et vidéos, car elle avait perdu les données de son cellulaire après l’avoir réinitialisé. Devant l’insistance de son amie, Fama Ndiaye déverrouille son téléphone, avant de le remettre à Ndèye Aïda War, tout en insistant pour qu’elle ne fouille pas dans son compte personnel où il y a des données sensibles. La jeune lycéenne, curieuse, a voulu voir le contenu obscène que son amie lui interdit de regarder.
Dès lors que le téléphone était entre ses mains, elle entre dans les données personnelles et voit la vidéo de Fama Ndiaye en compagnie de son petit ami. Elle transfère la vidéo dans son téléphone avant de l’envoyer à ses autres camarades de classe. Fama Ndiaye est informée par ses amies de sa sextape qui fait le tour du net. Furieuse, elle s’en ouvre au Surveillant général, puis à ses parents.
La jeune fille devient alors la risée de toute l’école. Pour laver son honneur, Fama Ndiaye dépose une plainte contre Ndèye Aïda War pour diffusion de données personnelles. Devant la barre, la prévenue nie toute implication dans la diffusion de la sextape qui est au cœur de tous les débats à Kaolack.
Selon elle, la jeune fille voulait se dédouaner de son acte et cherche un coupable. Pour Ndèye Aïda War, son amie n’a aucune preuve de sa culpabilité et elle n’a rien fait de ce qu’on l’accuse. Pourtant le témoignage de Fatou Kiné Niang contredit la prévenue. Fatou Kiné Niang explique qu’elle a reçu la sextape par le biais de la prévenue Ndèye Aïda War. Pourtant, elle a consciemment regardé et envoyé la vidéo comme le confirme le témoin.
Après la réquisition contre la prévenue, le tribunal, a condamné Ndèye Aïda War à 3 mois de prison ferme. Un verdict qui sera lourd de conséquences.