Financé à hauteur de 50 millions d’euros soit 5,5 milliards de francs Cfa, pour une durée de 5 ans, ce programme vise la restauration de 10 ha sur l’ensemble des zones cibles et permettra la réouverture des portes d’une régénération éco-systémique, mieux d’une agriculture durable à une population de 80 mille personnes en résidence dans ces zones.
Selon Pierre Henri, le chef de ce programme autrement intitulé ”Portefeuille thématique Climat Sahel”, ce sera une démarche holistique où l’on verra la participation de tous les acteurs (populations, institutions locales, Ong, société civile), surtout les agences et services déconcentrés de l’État comme l’Agence nationale de conseil agricole (Ancar) et l’Institut sénégalais de recherche agricole (Isra) pour la garantie du volet technique des opérations.
Pour le Préfet du département de Mbirkilane Abdoul Wahab Talla, “ceci est d’une importance capitale, dans la mesure où il va aussi contribuer à la résolution de la résilience au sein des populations, surtout chez les personnes les plus vulnérables. Mais il compte pour autant faire renaître la proximité, plutôt les relations sereines entre l’homme et la nature”.
Aussi par ce canal, il s’agira de s’attaquer directement aux zones frappées au courant de ces dernières années par l’érosion, mais également les superficies envahies par le sel. Car l’objectif principal de ce programme est de réduire ou éliminer à fond, les conséquences néfastes produites par les changements climatiques et offrir aux populations la latitude de reprendre leurs activités agricoles et de produire massivement.
Sud Quotidien
Selon Pierre Henri, le chef de ce programme autrement intitulé ”Portefeuille thématique Climat Sahel”, ce sera une démarche holistique où l’on verra la participation de tous les acteurs (populations, institutions locales, Ong, société civile), surtout les agences et services déconcentrés de l’État comme l’Agence nationale de conseil agricole (Ancar) et l’Institut sénégalais de recherche agricole (Isra) pour la garantie du volet technique des opérations.
Pour le Préfet du département de Mbirkilane Abdoul Wahab Talla, “ceci est d’une importance capitale, dans la mesure où il va aussi contribuer à la résolution de la résilience au sein des populations, surtout chez les personnes les plus vulnérables. Mais il compte pour autant faire renaître la proximité, plutôt les relations sereines entre l’homme et la nature”.
Aussi par ce canal, il s’agira de s’attaquer directement aux zones frappées au courant de ces dernières années par l’érosion, mais également les superficies envahies par le sel. Car l’objectif principal de ce programme est de réduire ou éliminer à fond, les conséquences néfastes produites par les changements climatiques et offrir aux populations la latitude de reprendre leurs activités agricoles et de produire massivement.
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