Après s’être félicitées des 100 milliards offerts cette année par le gouvernement du Sénégal pour le financement de la campagne agricole, les femmes rurales trouvent par ce canal la meilleure méthode de surseoir à certaines questions d’ordre paysan restées pendant plusieurs décennies sans réponse valable pour booster le secteur de l’agriculture et du foncier dans le pays.
Relevant cependant de la non reconversion des femmes en de véritables actrices du secteur agricole et du développement de manière générale, ces questions sont en effet posées en fonction de la stigmatisation dont les femmes du monde rural se disent victimes dans l’exercice de leurs activités exclusives à l’agriculture.
Sur le reste des différents corps de métiers exercés en dehors du travail à la terre, les femmes aspirent à disposer d’un soutien technique et financier élargi à toutes les femmes pour contribuer au développement de tous ces petits métiers du secteur informel et atteindre leur autonomisation à tous les niveaux de vie.
Pour leur présidente nationale, la convocation de ces Assises de l’agriculture et du foncier sera sans doute un prétexte qui va non seulement réunir les administrations locales, les chefs de village, les maires, présidents de Conseils départementaux et autres acteurs autour de la question, mais sera surtout une occasion de restituer aux femmes rurales tous les droits qui leur sont retirés illégalement. Car sans parcelle pour travailler la terre, ni matériel agricole encore moins de semences et intrants, les femmes peineront toujours à sortir de l’ornière et développer les activités auxquelles elles sont confrontées.
S’agissant cependant des 100 milliards d’investissement octroyés cette année à la campagne agricole, la Fédération des femmes rurales exige la bonne gouvernance de ces fonds.
Autrement dit, utiliser ces fonds comme socle d’un rebondissement fondamental du secteur à travers toutes ces chaînes de valeur. Mais surtout permettre aux femmes de disposer des terres, du matériel agricole, des semences et intrants en qualité et quantité suffisante pour mieux contribuer au développement de la consommation de produits locaux, et surtout à l’autosuffisance alimentaire dans le pays
Sud quotidien
Relevant cependant de la non reconversion des femmes en de véritables actrices du secteur agricole et du développement de manière générale, ces questions sont en effet posées en fonction de la stigmatisation dont les femmes du monde rural se disent victimes dans l’exercice de leurs activités exclusives à l’agriculture.
Sur le reste des différents corps de métiers exercés en dehors du travail à la terre, les femmes aspirent à disposer d’un soutien technique et financier élargi à toutes les femmes pour contribuer au développement de tous ces petits métiers du secteur informel et atteindre leur autonomisation à tous les niveaux de vie.
Pour leur présidente nationale, la convocation de ces Assises de l’agriculture et du foncier sera sans doute un prétexte qui va non seulement réunir les administrations locales, les chefs de village, les maires, présidents de Conseils départementaux et autres acteurs autour de la question, mais sera surtout une occasion de restituer aux femmes rurales tous les droits qui leur sont retirés illégalement. Car sans parcelle pour travailler la terre, ni matériel agricole encore moins de semences et intrants, les femmes peineront toujours à sortir de l’ornière et développer les activités auxquelles elles sont confrontées.
S’agissant cependant des 100 milliards d’investissement octroyés cette année à la campagne agricole, la Fédération des femmes rurales exige la bonne gouvernance de ces fonds.
Autrement dit, utiliser ces fonds comme socle d’un rebondissement fondamental du secteur à travers toutes ces chaînes de valeur. Mais surtout permettre aux femmes de disposer des terres, du matériel agricole, des semences et intrants en qualité et quantité suffisante pour mieux contribuer au développement de la consommation de produits locaux, et surtout à l’autosuffisance alimentaire dans le pays
Sud quotidien