Mamadou Agne, le directeur adjoint de l’institut a expliqué que ces apprenants ont été récompensés pour ’’leur mérite, leur ténacité et leur courage’’.
Des élèves qui ont occupé les premières places au niveau des examens du Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) et du Certificat de fin d’études élémentaires (CFEE), ont tous été récompensés, a-t-il dit, soulignant que son établissement a pu obtenir un taux de réussite de 63,6% dont 29 mentions au baccalauréat.
Saluant les "efforts énormes" consentis par le président Macky Sall dans le système éducatif national, Agne a déclaré toutefois attendre beaucoup des pouvoirs publics.
Il a souligné que l’Institut islamique El Hadji Ibrahima Niass, est reconnu officiellement depuis bientôt une trentaine d’années, comme un établissement d’intérêt public.
L’institut compte une cinquantaine de classes, avec chaque année de nouveaux bacheliers en enseignement général et en arabe, a-t-il salué.
"Les portes des universités sont ouvertes à nos bacheliers dans l’enseignement arabe’’, selon lui.
Il s’est réjoui que les diplômés de l’enseignement arabe qui étaient considérés comme des citoyens de ’’seconde zone, soient aujourd’hui mis sur le même pied d’égalité que les autres élèves’’.
Toutefois, selon toujours l’APS, Baba Agne a relevé "beaucoup de manquements’’ et a émis le souhait que l’Etat les accompagne dans la construction de nouvelles salles de classe en raison de l’augmentation des effectifs de l’établissement.
"Nous souhaitons également que cette année l’Etat nous recrute des enseignants pour la première fois. (...) cet institut constitue un grand établissement de presque 3000 élèves, alors que nous n’avons pas assez de moyens’’, a lancé Mamadou Agne.
Pour sa part, Abdou Latif Coulibaly, rappelant que cet institut islamique a formé beaucoup de cadres en langues et en sciences islamiques, pourra, d’ici quelques années, afficher un taux de réussite de 70% aux examens du baccalauréat.
"L’innovation majeure de ce baccalauréat est saluée par tous les responsables de l’enseignement arabe et des sciences islamiques au Sénégal. Et je suis personnellement fier de dire que j’appartiens à un gouvernement qui, pour la première fois, a institué ce baccalauréat arabe’’, a déclaré M. Coulibaly.
Des élèves qui ont occupé les premières places au niveau des examens du Brevet de fin d’études moyennes (BFEM) et du Certificat de fin d’études élémentaires (CFEE), ont tous été récompensés, a-t-il dit, soulignant que son établissement a pu obtenir un taux de réussite de 63,6% dont 29 mentions au baccalauréat.
Saluant les "efforts énormes" consentis par le président Macky Sall dans le système éducatif national, Agne a déclaré toutefois attendre beaucoup des pouvoirs publics.
Il a souligné que l’Institut islamique El Hadji Ibrahima Niass, est reconnu officiellement depuis bientôt une trentaine d’années, comme un établissement d’intérêt public.
L’institut compte une cinquantaine de classes, avec chaque année de nouveaux bacheliers en enseignement général et en arabe, a-t-il salué.
"Les portes des universités sont ouvertes à nos bacheliers dans l’enseignement arabe’’, selon lui.
Il s’est réjoui que les diplômés de l’enseignement arabe qui étaient considérés comme des citoyens de ’’seconde zone, soient aujourd’hui mis sur le même pied d’égalité que les autres élèves’’.
Toutefois, selon toujours l’APS, Baba Agne a relevé "beaucoup de manquements’’ et a émis le souhait que l’Etat les accompagne dans la construction de nouvelles salles de classe en raison de l’augmentation des effectifs de l’établissement.
"Nous souhaitons également que cette année l’Etat nous recrute des enseignants pour la première fois. (...) cet institut constitue un grand établissement de presque 3000 élèves, alors que nous n’avons pas assez de moyens’’, a lancé Mamadou Agne.
Pour sa part, Abdou Latif Coulibaly, rappelant que cet institut islamique a formé beaucoup de cadres en langues et en sciences islamiques, pourra, d’ici quelques années, afficher un taux de réussite de 70% aux examens du baccalauréat.
"L’innovation majeure de ce baccalauréat est saluée par tous les responsables de l’enseignement arabe et des sciences islamiques au Sénégal. Et je suis personnellement fier de dire que j’appartiens à un gouvernement qui, pour la première fois, a institué ce baccalauréat arabe’’, a déclaré M. Coulibaly.