Kalidou Koulibaly, Capitaine du Sénégal lors de la CAN remportée au Cameroun, est revenu sur ce succès unique. Il reprend même les propos de Edouard Mendy, qui n’aurait pas hésité à troquer ses trophées en club pour celui avec l’équipe du Sénégal.
« Gagner un titre avec son pays, sa patrie, pour des millions de personnes qui te suivent, c’est indescriptible. Pendant tout notre parcours, le pays s’est arrêté pour nous. C’est dur d’arrêter tout un pays. Quand tout le pays s’arrête pour regarder la finale, et qu’à la fin du match, ils voient les couleurs du drapeau sur le toit du continent africain, c’est quelque chose d’exceptionnel. Edou (Mendy) a raison.
Gagner quelque chose en club, tu peux le faire avec plusieurs clubs, par contre, gagner un trophée avec ton équipe nationale, tu ne peux le faire qu'avec ta sélection. Sentir la force et la ferveur du pays quand on est rentrés au Sénégal, c’était magique. Je n’avais jamais vécu ça.
Parfois, je ferme les yeux et je repense à ces milliers de personnes qui étaient là, à courir derrière notre car, j’en perds mes mots », conclut-il.
« Gagner un titre avec son pays, sa patrie, pour des millions de personnes qui te suivent, c’est indescriptible. Pendant tout notre parcours, le pays s’est arrêté pour nous. C’est dur d’arrêter tout un pays. Quand tout le pays s’arrête pour regarder la finale, et qu’à la fin du match, ils voient les couleurs du drapeau sur le toit du continent africain, c’est quelque chose d’exceptionnel. Edou (Mendy) a raison.
Gagner quelque chose en club, tu peux le faire avec plusieurs clubs, par contre, gagner un trophée avec ton équipe nationale, tu ne peux le faire qu'avec ta sélection. Sentir la force et la ferveur du pays quand on est rentrés au Sénégal, c’était magique. Je n’avais jamais vécu ça.
Parfois, je ferme les yeux et je repense à ces milliers de personnes qui étaient là, à courir derrière notre car, j’en perds mes mots », conclut-il.