A quelques jours de la Korité, les clients se font toujours désirer chez les tailleurs et les vendeurs de tissus au marché central de Kaffrine. Confortablement assise sur sa chaise, le portable à la main, Ndèye Lô, vendeuse de tissus, l’air pensif, semble se demander où sont passés les clients en cette veille de fête.
Une situation qui ne semble pas l’ébranler outre mesure, puisqu’elle déclare s’en remettre à Dieu. « Ce n’est pas le rush. Il faut le reconnaître. A pareille période, l’année dernière, il y avait plus d’affluence mais il faut rendre grâce à Dieu. De toute façon, les parents viendront acheter pour leurs enfants », espère-t-elle. Même son de cloche chez les tailleurs.
Trouvé en train de coudre un costume trois pièces, Yankhoba Samb, derrière sa machine, lance : «Le constat est unanime. Cette année, sincèrement, les clients ne se bousculent pas dans les ateliers. Pas encore en tout cas».
Toutefois, selon eux, l’espoir est permis avec la fin du mois. «Beaucoup ont confirmé leurs commandes et disent qu’ils vont passer dès qu’ils reçoivent leurs salaires», dit M. Samb.
Même espoir chez Ndèye Lô, qui estime que «la situation est due à la conjoncture. Les temps sont durs mais, avec la fin du mois, la situation devrait s’améliorer. En tout cas, nous l’espérons».
Une situation qui ne semble pas l’ébranler outre mesure, puisqu’elle déclare s’en remettre à Dieu. « Ce n’est pas le rush. Il faut le reconnaître. A pareille période, l’année dernière, il y avait plus d’affluence mais il faut rendre grâce à Dieu. De toute façon, les parents viendront acheter pour leurs enfants », espère-t-elle. Même son de cloche chez les tailleurs.
Trouvé en train de coudre un costume trois pièces, Yankhoba Samb, derrière sa machine, lance : «Le constat est unanime. Cette année, sincèrement, les clients ne se bousculent pas dans les ateliers. Pas encore en tout cas».
Toutefois, selon eux, l’espoir est permis avec la fin du mois. «Beaucoup ont confirmé leurs commandes et disent qu’ils vont passer dès qu’ils reçoivent leurs salaires», dit M. Samb.
Même espoir chez Ndèye Lô, qui estime que «la situation est due à la conjoncture. Les temps sont durs mais, avec la fin du mois, la situation devrait s’améliorer. En tout cas, nous l’espérons».