Le nommé Serigne Ndiogou âgé de 35 ans environ, marié et père d’un enfant, maçon demeurant à Nguer Mandakh, est accusé de détournement de mineure suivi de viol sur F. Dieng. La victime présumée, âgée de 16 ans a fugué le lundi 17 avril 2023 vers Touba.
Une fois à la gare routière, les apprentis lui ont demandé où elle allait et elle a répondu qu’elle l’ignorait même pas. Pressée de questions, elle finit par raconter son histoire. Ainsi, son bourreau présumé qui était à côté ayant entendu que la fille habitait Kaffrine, a convaincu l’assistance que lui aussi était originaire de la même ville et qu’il pourrait, par conséquent, la conduire chez elle. Arrivé à Kaffrine avec elle, l’homme l’a plutôt conduite chez lui où ils sont restés du lundi au samedi soir, vers 21h.
Durant tout ce temps, Ndiogou a fait croire à sa femme que la fille était venue se soigner parce que malade. Le samedi, tard dans la nuit, il demanda à la jeune fille de le suivre pour prendre l’horaire et rentrer chez ses parents à Kaffrine. C’est ainsi qu’il l’a plutôt conduite dans la brousse, lui faisant croire que le véhicule va venir la prendre sur la RN1.
«Je ne sais même pas pourquoi j’ai commis cet acte»
Vers 3h du matin, il a forcé la fille et abusé d’elle deux fois dans la nuit en la ligotant pour pouvoir satisfaire sa libido. Le dimanche matin, vers 7h, il demandé à la fille de donner le numéro de ses parents pour qu’il les appelle et leur dise qu’il a trouvé leur fille et qu’il allait la mettre dans un véhicule. Le 27 avril, la fille s’est présentée à la brigade avec ses parents pour porter plainte.
Ils ont été orientés vers l’hôpital régional de Kaffrine pour des examens gynécologiques dont les résultats font état d’une déchirure récente de l’hymen. Ndiogou, interpellé, demande pardon à la famille et dit qu’il ne sait même pas pourquoi il a commis l’acte. L’enquête suit son cours.
Bes Bi
Une fois à la gare routière, les apprentis lui ont demandé où elle allait et elle a répondu qu’elle l’ignorait même pas. Pressée de questions, elle finit par raconter son histoire. Ainsi, son bourreau présumé qui était à côté ayant entendu que la fille habitait Kaffrine, a convaincu l’assistance que lui aussi était originaire de la même ville et qu’il pourrait, par conséquent, la conduire chez elle. Arrivé à Kaffrine avec elle, l’homme l’a plutôt conduite chez lui où ils sont restés du lundi au samedi soir, vers 21h.
Durant tout ce temps, Ndiogou a fait croire à sa femme que la fille était venue se soigner parce que malade. Le samedi, tard dans la nuit, il demanda à la jeune fille de le suivre pour prendre l’horaire et rentrer chez ses parents à Kaffrine. C’est ainsi qu’il l’a plutôt conduite dans la brousse, lui faisant croire que le véhicule va venir la prendre sur la RN1.
«Je ne sais même pas pourquoi j’ai commis cet acte»
Vers 3h du matin, il a forcé la fille et abusé d’elle deux fois dans la nuit en la ligotant pour pouvoir satisfaire sa libido. Le dimanche matin, vers 7h, il demandé à la fille de donner le numéro de ses parents pour qu’il les appelle et leur dise qu’il a trouvé leur fille et qu’il allait la mettre dans un véhicule. Le 27 avril, la fille s’est présentée à la brigade avec ses parents pour porter plainte.
Ils ont été orientés vers l’hôpital régional de Kaffrine pour des examens gynécologiques dont les résultats font état d’une déchirure récente de l’hymen. Ndiogou, interpellé, demande pardon à la famille et dit qu’il ne sait même pas pourquoi il a commis l’acte. L’enquête suit son cours.
Bes Bi