Notamment, le différend agité sur la bagatelle des éleveurs concernant l’affaire des 675 millions de francs Cfa de subvention offerts par le gouvernement du Sénégal, pour l’achat de taurillons de race Gouzera. afin d’améliorer la qualité des races bovines en élevage dans le pays. Mais le mal pour ces nombreux éleveurs est que ces fonds n’ont pas été utilisés à bon escient. Autrement dit, ces races sont si chères qu’elles ne réservent aucun accès aux pauvres pasteurs.
Dans leurs propos, ces éleveurs font apprendre qu’il faut casquer un montant de deux millions 250 mille francs pour se procurer un taurillon. Alors que dans le cours normal des choses, un taurillon géniteur peut s’obtenir à 500 voire 600 mille francs Cfa sur le marché. Un programme qui a d’ailleurs été confié à une organisation dénommée «Groupement pour l’Amélioration génétique de l’élevage au Sénégal » (GEPES) SARL et pilotée par le maire de Gamadji, Harouna Gallo Bâ et le député Aliou Dembourou Sow, respectivement président et trésorier général.
Et ce, sans aucune concertation avec les bénéficiaires voire leur consentement. Ainsi déterminés à ne plus entendre ou voir ces personnes agir en leur nom, les membres de la Fast à travers le Ministère de l’Élevage et des Productions animales, interpellent l’État pour mettre un terme à la stigmatisation. Mieux, des disparités existent en termes de quotas, qui font aujourd’hui que certains départements sont plus favorisés que d’autres.
S’agissant cependant de la question des aliments de bétail, ils constatent qu’au-delà même de leur cherté, ces produits sont dispensés de manière inéquitable. Les zones les plus peuplées en cheptels reçoivent des quotas en-deçà de leurs demandes. Alors que sur le terrain, beaucoup d’éleveurs souffrent de cette problématique.
Ces éleveurs qui ne veulent plus que leurs problèmes et autres revendications soient portés par des personnes étrangères au secteur de l’élevage, ont ainsi tenu à suppléer l’État, afin de superviser davantage le programme d’amélioration de la race bovine, ou à la limite, le reprendre totalement ou le confier à un Directoire nommé par les organisations de pasteurs elles-mêmes. La recrudescence des conflits entre éleveurs et pasteurs n’a pas fait exception lors de cette rencontre nationale.
Et les éleveurs dans leur écrasante majorité, somment les commentateurs sénégalais de ne plus aborder cette question comme un problème ethnique, mais plutôt un phénomène figurant dans un secteur partagé par une diversité de professionnels venus de toutes les composantes sociales. De ce point de vue, la Fast invite l’État à diligenter le processus de validation du code pastoral. La seule alternative qui reste pour pouvoir réorganiser le secteur et faire taire la fréquence des différends existant entre deux acteurs qui ne se quittent jamais.
Dans leurs propos, ces éleveurs font apprendre qu’il faut casquer un montant de deux millions 250 mille francs pour se procurer un taurillon. Alors que dans le cours normal des choses, un taurillon géniteur peut s’obtenir à 500 voire 600 mille francs Cfa sur le marché. Un programme qui a d’ailleurs été confié à une organisation dénommée «Groupement pour l’Amélioration génétique de l’élevage au Sénégal » (GEPES) SARL et pilotée par le maire de Gamadji, Harouna Gallo Bâ et le député Aliou Dembourou Sow, respectivement président et trésorier général.
Et ce, sans aucune concertation avec les bénéficiaires voire leur consentement. Ainsi déterminés à ne plus entendre ou voir ces personnes agir en leur nom, les membres de la Fast à travers le Ministère de l’Élevage et des Productions animales, interpellent l’État pour mettre un terme à la stigmatisation. Mieux, des disparités existent en termes de quotas, qui font aujourd’hui que certains départements sont plus favorisés que d’autres.
S’agissant cependant de la question des aliments de bétail, ils constatent qu’au-delà même de leur cherté, ces produits sont dispensés de manière inéquitable. Les zones les plus peuplées en cheptels reçoivent des quotas en-deçà de leurs demandes. Alors que sur le terrain, beaucoup d’éleveurs souffrent de cette problématique.
Ces éleveurs qui ne veulent plus que leurs problèmes et autres revendications soient portés par des personnes étrangères au secteur de l’élevage, ont ainsi tenu à suppléer l’État, afin de superviser davantage le programme d’amélioration de la race bovine, ou à la limite, le reprendre totalement ou le confier à un Directoire nommé par les organisations de pasteurs elles-mêmes. La recrudescence des conflits entre éleveurs et pasteurs n’a pas fait exception lors de cette rencontre nationale.
Et les éleveurs dans leur écrasante majorité, somment les commentateurs sénégalais de ne plus aborder cette question comme un problème ethnique, mais plutôt un phénomène figurant dans un secteur partagé par une diversité de professionnels venus de toutes les composantes sociales. De ce point de vue, la Fast invite l’État à diligenter le processus de validation du code pastoral. La seule alternative qui reste pour pouvoir réorganiser le secteur et faire taire la fréquence des différends existant entre deux acteurs qui ne se quittent jamais.