Le Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST) observe à partir de ce lundi, 1er octobre une grève de 72 heures renouvelables, pour dénoncer la «posture » du gouvernement face à ses revendications.
Dans un communiqué parvenu à Leral, le SYTJUS rappelle que le 5 avril 2018, le Président de la République Macky Sall s’était solennellement, engagé devant son Bureau Exécutif National (BEN) à satisfaire les points de revendication de la plateforme, à savoir les « statuts des travailleurs et de leurs plans de carrière, les régimes indemnitaires, l’élargissement de l’assiette du fonds commun des greffes et l’octroi d’une assiette foncière pour réduire le coût de l’habitat social ».
«Depuis lors, constate le Syndicat, il y a une entrave à différents niveaux de l’administration ayant abouti à la non matérialisation de la volonté politique clairement exprimée par la première Institution de la République. Pis, les Ministres chargés de le Justice, des Finances, du Budget et de la Fonction publique affichent un manque d’intérêt dans la mise en œuvre et la matérialisation de l’engagement ferme et solennel de son Excellence Monsieur le Président de la République ."
« Face à ce dilatoire, déplore le SYTJUS la radicalisation est l’unique option, laissée aux travailleurs de la Justice qui ont, jusque présent, fait preuve de responsabilité, de patience et d’indulgence."
Par ailleurs, le SYTJUST exige du gouvernement la prise en compte sérieuse et la satisfaction totale des doléances basiques des travailleurs de la Justice qui concourent dans la précarité absolue au bon fonctionnement de l’Institution Judiciaire.
Dans un communiqué parvenu à Leral, le SYTJUS rappelle que le 5 avril 2018, le Président de la République Macky Sall s’était solennellement, engagé devant son Bureau Exécutif National (BEN) à satisfaire les points de revendication de la plateforme, à savoir les « statuts des travailleurs et de leurs plans de carrière, les régimes indemnitaires, l’élargissement de l’assiette du fonds commun des greffes et l’octroi d’une assiette foncière pour réduire le coût de l’habitat social ».
«Depuis lors, constate le Syndicat, il y a une entrave à différents niveaux de l’administration ayant abouti à la non matérialisation de la volonté politique clairement exprimée par la première Institution de la République. Pis, les Ministres chargés de le Justice, des Finances, du Budget et de la Fonction publique affichent un manque d’intérêt dans la mise en œuvre et la matérialisation de l’engagement ferme et solennel de son Excellence Monsieur le Président de la République ."
« Face à ce dilatoire, déplore le SYTJUS la radicalisation est l’unique option, laissée aux travailleurs de la Justice qui ont, jusque présent, fait preuve de responsabilité, de patience et d’indulgence."
Par ailleurs, le SYTJUST exige du gouvernement la prise en compte sérieuse et la satisfaction totale des doléances basiques des travailleurs de la Justice qui concourent dans la précarité absolue au bon fonctionnement de l’Institution Judiciaire.