Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'Imam Ndao et ses co-accusés dans ce qu'il est convenu d'appeler le procès pour terrorisme, ne sont pas ébranlés par les lourdes charges qui pèsent sur eux et les conséquences qui peuvent en découler. En tout cas, ils ne donnent pas l'air de se faire du souci quant à l'issue du procès. Ce qui l'illustre, c'est le comportement des accusés dans le box des accusés. Alors que leurs proches s'apitoient sur leur sort, eux, ne font rien pour leur donner des raisons de s'inquiéter.
Dans le box des accusés, les présumés jihadistes ne se privent pas de discuter et parfois, se permettent des éclats de rire. Ce qui a le don de provoquer un étonnement dans l'assistance composé essentiellement de proches des accusés, mais aussi de simples badauds venus voir de quoi retournent les griefs retenus contre l'Imam Ndao et ses 28 co-accusés.
Dans le box des accusés, les présumés jihadistes ne se privent pas de discuter et parfois, se permettent des éclats de rire. Ce qui a le don de provoquer un étonnement dans l'assistance composé essentiellement de proches des accusés, mais aussi de simples badauds venus voir de quoi retournent les griefs retenus contre l'Imam Ndao et ses 28 co-accusés.