A cet effet, elle invite l’Etat du Sénégal à prendre ses responsabilités en trouvant des solutions aux préoccupations des jeunes. « On ne le dira jamais assez : la principale cause de l’émigration irrégulière; est la pauvreté. Et ce phénomène ne peut s’arrêter tant qu’on ne résoudra pas la question de l’emploi des jeunes, notamment dans les zones de départ », relève le communiqué.
Daouda Gbaya et ses camarades invitent les pouvoirs publics, à travers les différents événements prévus, à dégager des pistes de réflexion pour venir à bout de l’émigration irrégulière. Et cette solution passe par une démarche inclusive ; c’est-à -dire impliquer, au préalable, les principaux concernés dans l’élaboration des politiques pour les jeunes.
Selon la source, cette journée est l’occasion pour l’Ajms de réaffirmer sa volonté d’accompagner et de défendre les migrants sénégalais partout où ils puissent se trouver, au moyen de l’information et la sensibilisation. Toutefois, l’Ajms s’oppose à l’émigration irrégulière communément appelé « Barça ou barsaq » et exhorte les jeunes à ne peut pas se lancer à l’aventure. Quelles que soient les raisons invoquées, rien ne vaut de mourir dans le désert ou dans la mer.
Car, des millions de personnes se déplacent dans le monde pour plusieurs raisons. Certains pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.
Selon le PNUD, le nombre total de migrants dans le monde, en 2009, était estimé à 213,9 millions de personnes, soit 3,1 % de la population mondiale. L’OIT a établi que 90 % d’entre eux environ, sont composés de migrants économiques actifs et des membres de leurs familles, et que 7 % ou 8 % environ seulement, sont des réfugiés ou des demandeurs d’asile.
Le texte poursuit que les migrants jouent un rôle essentiel pour la croissance économique et le développement, notamment en remédiant aux pénuries du marché du travail à tous les niveaux de qualification. La migration a des effets majoritairement positifs, aussi bien pour les pays d’origine que pour les pays d’accueil.
Les migrants, souvent victimes des bandes armées et mafieux, souffrent de nombreuses violences, d’agressions et même tout récemment, de traite en Libye. Ce trafic d’être humain mis en lumière par nos confrères de la CNN, ne semblent pas émouvoir les gouvernements occidentaux, plus préoccupés à tarir les flux de migratoires plutôt que d’améliorer les conditions d’accueil des migrants.
Et pourtant, la Convention internationale des Nations-Unies sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leurs familles, adoptée en 1990 par l’Assemblée générale des Nations-Unies, établit une norme internationale en termes d’accès aux droits fondamentaux des travailleurs migrants, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière, rappelle l’Ajms.
Daouda Gbaya et ses camarades invitent les pouvoirs publics, à travers les différents événements prévus, à dégager des pistes de réflexion pour venir à bout de l’émigration irrégulière. Et cette solution passe par une démarche inclusive ; c’est-à -dire impliquer, au préalable, les principaux concernés dans l’élaboration des politiques pour les jeunes.
Selon la source, cette journée est l’occasion pour l’Ajms de réaffirmer sa volonté d’accompagner et de défendre les migrants sénégalais partout où ils puissent se trouver, au moyen de l’information et la sensibilisation. Toutefois, l’Ajms s’oppose à l’émigration irrégulière communément appelé « Barça ou barsaq » et exhorte les jeunes à ne peut pas se lancer à l’aventure. Quelles que soient les raisons invoquées, rien ne vaut de mourir dans le désert ou dans la mer.
Car, des millions de personnes se déplacent dans le monde pour plusieurs raisons. Certains pour étudier à l’étranger, rejoindre des membres de la famille, chercher un emploi ou des moyens de subsistance, ou assurer un meilleur avenir à leurs enfants. D’autres quittent leur pays pour fuir la criminalité, la violence, les conflits, la persécution, l’insécurité, la discrimination, les catastrophes naturelles et la dégradation de l’environnement, ou encore la pauvreté.
Selon le PNUD, le nombre total de migrants dans le monde, en 2009, était estimé à 213,9 millions de personnes, soit 3,1 % de la population mondiale. L’OIT a établi que 90 % d’entre eux environ, sont composés de migrants économiques actifs et des membres de leurs familles, et que 7 % ou 8 % environ seulement, sont des réfugiés ou des demandeurs d’asile.
Le texte poursuit que les migrants jouent un rôle essentiel pour la croissance économique et le développement, notamment en remédiant aux pénuries du marché du travail à tous les niveaux de qualification. La migration a des effets majoritairement positifs, aussi bien pour les pays d’origine que pour les pays d’accueil.
Les migrants, souvent victimes des bandes armées et mafieux, souffrent de nombreuses violences, d’agressions et même tout récemment, de traite en Libye. Ce trafic d’être humain mis en lumière par nos confrères de la CNN, ne semblent pas émouvoir les gouvernements occidentaux, plus préoccupés à tarir les flux de migratoires plutôt que d’améliorer les conditions d’accueil des migrants.
Et pourtant, la Convention internationale des Nations-Unies sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leurs familles, adoptée en 1990 par l’Assemblée générale des Nations-Unies, établit une norme internationale en termes d’accès aux droits fondamentaux des travailleurs migrants, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière, rappelle l’Ajms.