Selon les femmes handicapées de Pikine, certes des efforts sont en train d’etre faits, mais le constat est que beaucoup de leurs droits ne sont toujours pas respectés.
«Le premier droit que nous réclamons, c’est le respect des 15% dans le recrutement de la Fonction publique, comme promis par les autorités étatiques. Les femmes handicapées doivent avoir un quota dans les 15%. Sur un recrutement de 5 personnes handicapées, nous exigeons à ce que les 3 soient des femmes handicapées, car les femmes handicapées sont diplômées et ont des compétences», plaide Coumba Ndiaye.
Mais la présidente du comité des femmes handicapées de Pikine s’est désole. «Mais, même les 1% ne sont pas respectés dans le recrutement dans la Fonction publique. Ce qui est regrettable», fustige Mme Ndiaye.
Mais il n’y a pas que. Les femmes handicapées de Pikine réclament le respect de leurs droits liés à la formation professionnelle et au financement. Le droit à la santé n’a pas été oublié. «Les femmes handicapées sont très vulnérables. Nous estimons que notre droit à la santé doit être respecté, pour nous permettre d’accéder à des soins de qualité», a plaidé Coumba Ndiaye.
Le comité des femmes handicapées de Pikine a organisé hier une conférence dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits des femmes, qui sera célébrée ce vendredi 08 mars. Elles en ont profité pour interpeller aussi les autorités locales.
«Il y a des compétences qui sont transférées aux collectivités territoriales. Donc, nous estimons qu’elles ne doivent pas attendre que l’État donne des instructions pour qu’elles prennent certaines décisions en faveur des femmes handicapées. Nous appelons les élus locaux à travailler à la promotion des droits des femmes handicapées», a exhorté la présidente Coumba Ndiaye
«Le premier droit que nous réclamons, c’est le respect des 15% dans le recrutement de la Fonction publique, comme promis par les autorités étatiques. Les femmes handicapées doivent avoir un quota dans les 15%. Sur un recrutement de 5 personnes handicapées, nous exigeons à ce que les 3 soient des femmes handicapées, car les femmes handicapées sont diplômées et ont des compétences», plaide Coumba Ndiaye.
Mais la présidente du comité des femmes handicapées de Pikine s’est désole. «Mais, même les 1% ne sont pas respectés dans le recrutement dans la Fonction publique. Ce qui est regrettable», fustige Mme Ndiaye.
Mais il n’y a pas que. Les femmes handicapées de Pikine réclament le respect de leurs droits liés à la formation professionnelle et au financement. Le droit à la santé n’a pas été oublié. «Les femmes handicapées sont très vulnérables. Nous estimons que notre droit à la santé doit être respecté, pour nous permettre d’accéder à des soins de qualité», a plaidé Coumba Ndiaye.
Le comité des femmes handicapées de Pikine a organisé hier une conférence dans le cadre de la célébration de la journée internationale des droits des femmes, qui sera célébrée ce vendredi 08 mars. Elles en ont profité pour interpeller aussi les autorités locales.
«Il y a des compétences qui sont transférées aux collectivités territoriales. Donc, nous estimons qu’elles ne doivent pas attendre que l’État donne des instructions pour qu’elles prennent certaines décisions en faveur des femmes handicapées. Nous appelons les élus locaux à travailler à la promotion des droits des femmes handicapées», a exhorté la présidente Coumba Ndiaye