Par pudeur, et dans un esprit de responsabilité, nous n’allons pas nous attarder sur le bilan macabre des hostilités. D’autres s’en chargent déjà , quoique de manière malhonnête, et à dessein», a souligné dans le document, le président du Mfdc-fédéraliste qui assimile l’attitude des Armées sénégalaises, à «nouvel acte d’agression délibéré, synonyme d’attentat contre le processus de paix en Casamance».
Cependant, M. Biagui, qui dit dénoncer cette initiative, de préciser que ‘’en fait, ledit détachement de l’armée nationale s’est introduit dans le parc de la Basse-Casamance jusqu’à Djibanépor, une localité que les gardes forestiers connaissent parfaitement, avec manifestement comme objectif de détruire la base de Atika qui y a élu domicile depuis longtemps. Alertés par les sentinelles de service, et à l’approche des soldats de l’armée nationale, les hommes du chef de guerre César Atoute Badiate ont ouvert le feu. Il s’en est alors suivi des échanges de tirs nourris, y compris à l’arme lourde, de 9 h à 17 h environ». Ce qui lui fait dire «que cet acte d’agression, qui survient au lendemain de la manifestation de solidarité et de soutien, de la part des autorités sénégalaises, à l’égard de la coalition conduite par l’Arabie Saoudite contre les rebelles chiites houtis au Yemen, n’est pas, et ne saurait être, sans incidence dans les rangs de l’armée nationale". En tout état de cause, Jean-Marie François Biagui et ses alliés disent appeler «les deux parties à la retenue, au dépassement et à l’esprit de responsabilité». D’autant plus qu’ils disent vouloir «tous la paix en Casamance».
Cependant, M. Biagui, qui dit dénoncer cette initiative, de préciser que ‘’en fait, ledit détachement de l’armée nationale s’est introduit dans le parc de la Basse-Casamance jusqu’à Djibanépor, une localité que les gardes forestiers connaissent parfaitement, avec manifestement comme objectif de détruire la base de Atika qui y a élu domicile depuis longtemps. Alertés par les sentinelles de service, et à l’approche des soldats de l’armée nationale, les hommes du chef de guerre César Atoute Badiate ont ouvert le feu. Il s’en est alors suivi des échanges de tirs nourris, y compris à l’arme lourde, de 9 h à 17 h environ». Ce qui lui fait dire «que cet acte d’agression, qui survient au lendemain de la manifestation de solidarité et de soutien, de la part des autorités sénégalaises, à l’égard de la coalition conduite par l’Arabie Saoudite contre les rebelles chiites houtis au Yemen, n’est pas, et ne saurait être, sans incidence dans les rangs de l’armée nationale". En tout état de cause, Jean-Marie François Biagui et ses alliés disent appeler «les deux parties à la retenue, au dépassement et à l’esprit de responsabilité». D’autant plus qu’ils disent vouloir «tous la paix en Casamance».