« 29% des demandes de visas sont refusés. Ces refus concernent des dossiers qu’on ne peut objectivement pas faire passer. Pour des critères très simples : le dossier est incomplet, il y a une fraude documentaire, il y a une usurpation d’identité, il y a un mensonge délibéré sur l’objectif du voyage. Toute demande qui répond aux exigences minimales s’est traduit par la délivrance du visa. Ce, dans des délais extrêmement courts », a indiqué Jean Felix Paganon, l’ambassadeur de la France au Sénégal, face à la presse ce jeudi.
Et d’ajouter: « Il y a des demandeurs qui ne sont pas de bonne foi, mais ils font fausse route. Ils pensent qu’en trafiquant, en améliorant leur dossier, ça irait mieux. Ça ne sert à rien. Dites la vérité, expliquez les situations, nous sommes prêts à vous écouter. Mais ne pensez pas qu’en ajoutant un zéro à la feuille de paie, en fraudant sur les documents bancaires que ça va passer. On donne un coup de fil à la banque, on se rend compte que vous n’avez pas de compte en banque. C’est enfantin. Et les conséquences sont graves pour la personne », avertit-il.
Le diplomate demande surtout aux demandeurs, et particulièrement aux étudiants, de se méfier des intermédiaires. « Ne pas recourir aux intermédiaires, à ces officines qui, en plus du coût du visa, vont taxer des sommes extravagantes qui ne vous apportent aucune garantie de délivrance. La franchise est certainement la meilleure façon d’obtenir votre visa. Il vaut mieux dire la vérité. Nous sommes prêts à comprendre chaque situation », a expliqué le diplomate.
Et le consul général, Olivier Séro Alméras de lui emboiter le pas : « Parfois, on nous reproche de ne pas répondre à tous les courriers de demande de réexamen, mais sachez que tous les courriers qui nous parviennent sur toutes ces demandes éventuellement retoquées, ce sont des dossiers que nous ne pouvons pas accepter parce que ce sont des dossiers dont le candidat sait pertinemment qu’il a fraudé. Nos agents sont rodés à cela, c’est leur métier. Parfois, la fraude est tellement évidente qu’elle ne peut être de bonne foi. Quelqu’un qui n’a pas de compte bancaire, quelqu’un qui se dit ‘‘vaut mieux rajouter un zéro à sa fiche de paye ce sera mieux’’, ça ne sert à rien. On le voit immédiatement », indique-il.
Et d’ajouter: « Il y a des demandeurs qui ne sont pas de bonne foi, mais ils font fausse route. Ils pensent qu’en trafiquant, en améliorant leur dossier, ça irait mieux. Ça ne sert à rien. Dites la vérité, expliquez les situations, nous sommes prêts à vous écouter. Mais ne pensez pas qu’en ajoutant un zéro à la feuille de paie, en fraudant sur les documents bancaires que ça va passer. On donne un coup de fil à la banque, on se rend compte que vous n’avez pas de compte en banque. C’est enfantin. Et les conséquences sont graves pour la personne », avertit-il.
Le diplomate demande surtout aux demandeurs, et particulièrement aux étudiants, de se méfier des intermédiaires. « Ne pas recourir aux intermédiaires, à ces officines qui, en plus du coût du visa, vont taxer des sommes extravagantes qui ne vous apportent aucune garantie de délivrance. La franchise est certainement la meilleure façon d’obtenir votre visa. Il vaut mieux dire la vérité. Nous sommes prêts à comprendre chaque situation », a expliqué le diplomate.
Et le consul général, Olivier Séro Alméras de lui emboiter le pas : « Parfois, on nous reproche de ne pas répondre à tous les courriers de demande de réexamen, mais sachez que tous les courriers qui nous parviennent sur toutes ces demandes éventuellement retoquées, ce sont des dossiers que nous ne pouvons pas accepter parce que ce sont des dossiers dont le candidat sait pertinemment qu’il a fraudé. Nos agents sont rodés à cela, c’est leur métier. Parfois, la fraude est tellement évidente qu’elle ne peut être de bonne foi. Quelqu’un qui n’a pas de compte bancaire, quelqu’un qui se dit ‘‘vaut mieux rajouter un zéro à sa fiche de paye ce sera mieux’’, ça ne sert à rien. On le voit immédiatement », indique-il.