M. Ndao, un radié de l'armée sénégalaise, est mort après avoir été lynché par la foule. Et pour cause ! Cet ancien militaire avait été accusé de vol à l'arraché du téléphone portable d'une fille, informe "Seneweb".
Poursuivi par la clameur publique, il a été rattrapé et tabassé par la foule. M. Ndao a été conduit, par la suite, au commissariat de Jaxaay. Mal en point, il peinait même à respirer correctement.
Vu son état de santé fragile, le commissaire Youssoupha Thioub a établi une réquisition pour son évacuation au centre de santé de Keur Massar. C'est dans cet établissement sanitaire que l'ancien soldat a succombé à ses blessures, détaille "Seneweb".
Il ressort de l'enquête que M. Ndao se faisait passer pour un gendarme. D'ailleurs, il a purgé récemment une peine de deux ans de prison pour vol et usurpation de fonction. Il a été aussi condamné à plusieurs reprises pour des faits similaires, selon des sources de "Seneweb". La perquisition de sa chambre, a permis aux policiers de Jaxaay de découvrir plusieurs accessoires militaires et des uniformes de la gendarmerie.
Au terme de l'enquête policière, le dossier a été transmis hier jeudi, au procureur de la République.
Poursuivi par la clameur publique, il a été rattrapé et tabassé par la foule. M. Ndao a été conduit, par la suite, au commissariat de Jaxaay. Mal en point, il peinait même à respirer correctement.
Vu son état de santé fragile, le commissaire Youssoupha Thioub a établi une réquisition pour son évacuation au centre de santé de Keur Massar. C'est dans cet établissement sanitaire que l'ancien soldat a succombé à ses blessures, détaille "Seneweb".
Il ressort de l'enquête que M. Ndao se faisait passer pour un gendarme. D'ailleurs, il a purgé récemment une peine de deux ans de prison pour vol et usurpation de fonction. Il a été aussi condamné à plusieurs reprises pour des faits similaires, selon des sources de "Seneweb". La perquisition de sa chambre, a permis aux policiers de Jaxaay de découvrir plusieurs accessoires militaires et des uniformes de la gendarmerie.
Au terme de l'enquête policière, le dossier a été transmis hier jeudi, au procureur de la République.