Un des exploités du nom de Modou témoigne sur leurs sévices: "je cueillais des tomates 16 heures par jour pour cinq euros de l'heure. La moitié de l'argent revient au capo", a-t-il dit.
Un autre de faire un témoignage qui est assez semblable: "je travaillais 12 heures par jour pour 6,7 euros de l'heure. Le capo touchait deux euros sur chaque heure de travail", confesse-t-il.
Un autre de faire un témoignage qui est assez semblable: "je travaillais 12 heures par jour pour 6,7 euros de l'heure. Le capo touchait deux euros sur chaque heure de travail", confesse-t-il.