La lutte contre le terrorisme n’est pas une mince affaire. Pour Abdoulaye Barry, chargé de communication du Daahira Safinatou Sa-adati, « pour lutter contre le fléau qui est en train de prendre une ampleur inégalée dans la sous-région ouest africaine et partout dans le monde, « il faut s’adresser aux esprits ». « Le terrorisme n’est pas conforme à l’Islam. Nous devons lutter avec la dernière énergie contre cette façon de faire », a-t-il déclaré. Avant d’ajouter : « Nous ne pouvons pas dire l’islam, qui signifie la paix et attaquer les gens de manière injuste. Ce n’est pas conforme ».
C’est ce qui est l’origine de la tenue des Journées de fraternité musulmane qui vont se dérouler les 10, 11 et 12 novembre à l’Institut El Hadji Oumar Foutiyou Tall au quartier Scat-Urbam de Dakar pour expliquer aux populations le vrai sens de l’islam. Sous le thème : « Islam et citoyenneté », la conférence sera animée par Abdoul Aziz Fall pour démontrer aux gens que l’islam est la meilleure des religions, une religion de paix et de pureté. « Nous aussi, nous voulons apporter notre pierre, contribuer pour que les gens puissent comprendre l’islam, l’accepter et y entrer de manière sûre et avec conviction sans pour autant verser du sang », a dit M. Barry.
« Durant l’édition précédente, plus de 400 patients ont été consultés. Pour cette année, nous attendons plus, parce qu’il y a le bouche à oreille qui fonctionne », a indiqué le chargé de communication. Pour le suivi des malades, il a fait savoir que le Daahira travaille en étroite collaboration avec le Samu et le District sanitaire nord.
C’est ce qui est l’origine de la tenue des Journées de fraternité musulmane qui vont se dérouler les 10, 11 et 12 novembre à l’Institut El Hadji Oumar Foutiyou Tall au quartier Scat-Urbam de Dakar pour expliquer aux populations le vrai sens de l’islam. Sous le thème : « Islam et citoyenneté », la conférence sera animée par Abdoul Aziz Fall pour démontrer aux gens que l’islam est la meilleure des religions, une religion de paix et de pureté. « Nous aussi, nous voulons apporter notre pierre, contribuer pour que les gens puissent comprendre l’islam, l’accepter et y entrer de manière sûre et avec conviction sans pour autant verser du sang », a dit M. Barry.
« Durant l’édition précédente, plus de 400 patients ont été consultés. Pour cette année, nous attendons plus, parce qu’il y a le bouche à oreille qui fonctionne », a indiqué le chargé de communication. Pour le suivi des malades, il a fait savoir que le Daahira travaille en étroite collaboration avec le Samu et le District sanitaire nord.