La Bceao renseigne que les flux nets d’Ide se sont repliés de 13,0% pour s'établir à 2069,0 milliards en 2020, liées au ralentissement des grands travaux lancés dans les secteurs minier et pétrolier en raison notamment de l’apparition de la pandémie de la Covid-19.
Selon l’institution, les flux au titre des investissements de portefeuille se sont contractés de 96,3% pour ressortir à 31,1 milliards en 2020, en lien avec la baisse du niveau de mobilisation de ressources par les Etats sur les marchés financiers internationaux, en rapport avec le recul des émissions d'euro-obligations en 2020, comparé à l'année 2019.
Cette évolution est principalement imputable au repli des mobilisations de ressources par les Etats sur les marchés financiers internationaux en 2020, avec une seule émission d'euro-obligations d’un montant de 353 milliards par la Côte d’Ivoire, contre un cumul de 1.029 milliards mobilisé par le Bénin, la Côte d’Ivoire et la Boad en 2019. Par ailleurs, les flux au titre des « autres investissements » se sont réduits de 42,0% par rapport à 2019, du fait essentiellement de la contraction des tirages nets publics (-14,6%), couplée à la baisse du rapatriement des recettes d’exportations.
Les autres investissements se sont également inscrits en baisse de (-42,0%), dans un contexte de net repli des tirages des Etats membres de l’Union auprès de leurs partenaires, couplé avec la baisse du rapatriement des recettes d’exportations.
«La Position extérieure globale nette (Pegn) régionale s’est détériorée de 8,5% en ressortant à -41.243,3 milliards (-44,9% du Pib) à fin décembre 2020 contre -38.019,6 milliards (-42,9% du PIB) à fin décembre 2019, en liaison notamment avec la hausse des engagements (+8,2%), plus importante que celle des créances (+7,8%) », note la Bceao.
Elle souligne que l'analyse de la structure géographique de la position extérieure globale nette de l'Uemoa à fin 2020 fait ressortir une situation débitrice aussi bien avec la Zone euro (-6.304,8 milliards ou -6,9% du Pib), son principal partenaire, qu'avec les autres régions du monde (-34.938,5 milliards ou -38,1% du Pib).
Adou FAYE
Selon l’institution, les flux au titre des investissements de portefeuille se sont contractés de 96,3% pour ressortir à 31,1 milliards en 2020, en lien avec la baisse du niveau de mobilisation de ressources par les Etats sur les marchés financiers internationaux, en rapport avec le recul des émissions d'euro-obligations en 2020, comparé à l'année 2019.
Cette évolution est principalement imputable au repli des mobilisations de ressources par les Etats sur les marchés financiers internationaux en 2020, avec une seule émission d'euro-obligations d’un montant de 353 milliards par la Côte d’Ivoire, contre un cumul de 1.029 milliards mobilisé par le Bénin, la Côte d’Ivoire et la Boad en 2019. Par ailleurs, les flux au titre des « autres investissements » se sont réduits de 42,0% par rapport à 2019, du fait essentiellement de la contraction des tirages nets publics (-14,6%), couplée à la baisse du rapatriement des recettes d’exportations.
Les autres investissements se sont également inscrits en baisse de (-42,0%), dans un contexte de net repli des tirages des Etats membres de l’Union auprès de leurs partenaires, couplé avec la baisse du rapatriement des recettes d’exportations.
«La Position extérieure globale nette (Pegn) régionale s’est détériorée de 8,5% en ressortant à -41.243,3 milliards (-44,9% du Pib) à fin décembre 2020 contre -38.019,6 milliards (-42,9% du PIB) à fin décembre 2019, en liaison notamment avec la hausse des engagements (+8,2%), plus importante que celle des créances (+7,8%) », note la Bceao.
Elle souligne que l'analyse de la structure géographique de la position extérieure globale nette de l'Uemoa à fin 2020 fait ressortir une situation débitrice aussi bien avec la Zone euro (-6.304,8 milliards ou -6,9% du Pib), son principal partenaire, qu'avec les autres régions du monde (-34.938,5 milliards ou -38,1% du Pib).
Adou FAYE
Source : https://www.lejecos.com/Investissements-directs-et...