C’est à croire que le pouvoir ne veut laisser aucun répit au leader de Pastef, Ousmane Sonko, et à ses militants. Hier, pendant que Ousmane Sonko était dans les locaux de la mairie de la Patte d’Oie où il rendait visite à la mairesse, le quartier était quadrillé parla police. Et c’est à la sortie du leader de Pastef, face à la déferlante des militants, que la police a commencé à balancer des grenades lacrymogènes sur la foule occasionnant des blessés dont un policier dont la grenade a éclaté entre les mains.
La police venait ainsi de mettre fin à la série des sorties de Sonko. Alors que les militants et sympathisants du Pastef faisaient face à la police, à Mbacké, le préfet interdisait le meeting que ce parti comptait organiser ce vendredi aux motifs que la déclaration n’a pas été signée par 3 déclarants mais seulement 2. Rien que ça ? Le même sort a été réservé à la section communale Pastef (Fann Point E-Amitié) qui devait installer ses cellules ce samedi 11 février à 15h au terrain Amitié 2 sous prétexte que les nuisances risquent de… perturber la tranquillité des malades de l’hôpital Gaspard Camara. Un terrain, soit dit en passant, qui a abrité presque toutes les manifestations politiques depuis longtemps dans la commune sans compter les cérémonies familiales qui s’y tiennent. Comme quoi… qui veut noyer son chien. Et y en a qui doutent toujours du non respect des libertés par ce régime !
Le Témoin
La police venait ainsi de mettre fin à la série des sorties de Sonko. Alors que les militants et sympathisants du Pastef faisaient face à la police, à Mbacké, le préfet interdisait le meeting que ce parti comptait organiser ce vendredi aux motifs que la déclaration n’a pas été signée par 3 déclarants mais seulement 2. Rien que ça ? Le même sort a été réservé à la section communale Pastef (Fann Point E-Amitié) qui devait installer ses cellules ce samedi 11 février à 15h au terrain Amitié 2 sous prétexte que les nuisances risquent de… perturber la tranquillité des malades de l’hôpital Gaspard Camara. Un terrain, soit dit en passant, qui a abrité presque toutes les manifestations politiques depuis longtemps dans la commune sans compter les cérémonies familiales qui s’y tiennent. Comme quoi… qui veut noyer son chien. Et y en a qui doutent toujours du non respect des libertés par ce régime !
Le Témoin