La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (L.S.D.H.), Amnesty International/Sénégal, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) et ARTICLE 19/Afrique de l'Ouest appellent, dans un communiqué "les autorités Sénégalaises à lever immédiatement la mesure d’interdiction de sortie du territoire Sénégalais qui pèse sur Oumar Sarr coordonnateur du Parti Démocratique Sénégalais et tous autres citoyens dans la même situation.
"Nos organisations rappellent qu’à ce jour aucune décision judiciaire soutenant une telle mesure n’a été notifiée à l’intéressé. Aucune procédure judiciaire n’est non plus ouverte à son encontre.
Il s’agit par conséquent d’une interdiction de sortie du territoire purement administrative qu’aucun texte de notre droit positif ne peut autoriser ni légitimer. Elle viole les dispositions de traités régionaux et internationaux dont le Sénégal est partie notamment la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques)", lit-on dans le document reçu à leral.
Les organisations rappellent en outre que "la Cour de justice de la CEDEAO a déjà jugé une telle mesure illégale et attentatoire aux droits fondamentaux des intéressés".
"Nos organisations rappellent qu’à ce jour aucune décision judiciaire soutenant une telle mesure n’a été notifiée à l’intéressé. Aucune procédure judiciaire n’est non plus ouverte à son encontre.
Il s’agit par conséquent d’une interdiction de sortie du territoire purement administrative qu’aucun texte de notre droit positif ne peut autoriser ni légitimer. Elle viole les dispositions de traités régionaux et internationaux dont le Sénégal est partie notamment la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques)", lit-on dans le document reçu à leral.
Les organisations rappellent en outre que "la Cour de justice de la CEDEAO a déjà jugé une telle mesure illégale et attentatoire aux droits fondamentaux des intéressés".