Et il rappelle que l’heure est à l’alternance générationnelle. Pour cela, Cheikh Alassane Sène, qui est par ailleurs le secrétaire général du Syndicat national des enseignants de l’élémentaire, pense qu’il faut une mobilisation générale des travailleurs à aller voter. Car, à l’en croire, les élections de représentativité qui se profilent à l’horizon vont être déterminantes.
Déjà , selon lui, le ministre de tutelle a convoqué pour le 26 décembre prochain la commission électorale nationale. Toutefois, il pense que ces joutes doivent être l’affaire de tous et non des syndiqués seulement. Il souhaite l’implication des autorités administratives locales dans l’élaboration du fichier, car, selon Cheikh Sène, celles-ci connaissent aussi bien les travailleurs du privé que du public qui sont dans leurs localités. «Ce sera une manière de rendre le scrutin beaucoup plus transparent», dira-t-il.
M. Sène d’élever le ton pour demander que ces élections se déroulent dans la transparence. Aussi, a-t-il rappelé que lors des dernières élections, seuls 30% des travailleurs ont pu voter. Il trouve cela inadmissible, alors que le Sénégal compte plus de 20 centrales. «Il n’y avait que 10 qui sont allées aux élections précédentes», se désole-t-il. Le secrétaire général de la Fgts/A de regretter les menaces de grève des différents syndicats de la santé, de l’éducation et les grognes répétitives des retraités. «Il faut qu’on arrive dans ce pays à respecter les engagements et je lance un appel aux ministres», a-t-il dit.
Déjà , selon lui, le ministre de tutelle a convoqué pour le 26 décembre prochain la commission électorale nationale. Toutefois, il pense que ces joutes doivent être l’affaire de tous et non des syndiqués seulement. Il souhaite l’implication des autorités administratives locales dans l’élaboration du fichier, car, selon Cheikh Sène, celles-ci connaissent aussi bien les travailleurs du privé que du public qui sont dans leurs localités. «Ce sera une manière de rendre le scrutin beaucoup plus transparent», dira-t-il.
M. Sène d’élever le ton pour demander que ces élections se déroulent dans la transparence. Aussi, a-t-il rappelé que lors des dernières élections, seuls 30% des travailleurs ont pu voter. Il trouve cela inadmissible, alors que le Sénégal compte plus de 20 centrales. «Il n’y avait que 10 qui sont allées aux élections précédentes», se désole-t-il. Le secrétaire général de la Fgts/A de regretter les menaces de grève des différents syndicats de la santé, de l’éducation et les grognes répétitives des retraités. «Il faut qu’on arrive dans ce pays à respecter les engagements et je lance un appel aux ministres», a-t-il dit.