Sale quart d'heure pour les policiers du commissariat d'arrondissement de Diamaguene Sicap Mbao. C'est ce que rapporte le quotidien Les Échos.
Des malfaiteurs se sont attaqués, à coups de projectiles, aux agents de police qui étaient en service commandé dans le quartier Hamdalaye, situé à proximité du rond-point dénommé Fallou Warga de la commune.
C’est au cours d’une opération pédestre de sécurisation que les policiers opérant en civil ont investi, avant-hier, vers 20h, le secteur en question dans le but de traquer les brigands et de les mettre hors d’état de nuire.
Chemin faisant, les agents interpellent dans la rue deux individus à l’allure suspecte et les soumettent à une vérification d’identité de routine. Ils les fouillent ensuite et trouvent sur eux deux cornets de chanvre indien.
Sans tarder, ils les appréhendent, les maîtrisent par une paire de menottes et les conduisent vers la fourgonnette de police de service.
Mais, au moment de les embarquer, ils se heurtent soudainement à une farouche résistance d’autres malfaiteurs, qui surgissent de nulle part, hurlent de colère et tentent de contrarier le travail des flics.
Qui tiennent vaille que vaille à conduire les jeunes garçons et s’emploient en même temps à tuer dans l’œuf les velléités de rébellion de la meute de délinquants.
Face à la détermination des agents de terrain, les malfrats se radicalisent à leur tour, se dressent en bouclier pour leurs deux camarades et sonnent la rébellion. Ils ramassent des pierres et les balancent dans la direction des flics.
Ces derniers sortent de leurs gonds, tentent de repousser les assauts des assaillants et lancent la traque. Mais, ces derniers détalent comme des lapins et se dispersent aussitôt dans les ruelles du quartier.
Ils profitent du repli stratégique des policiers en civil, reviennent à la charge et poursuivent avec rage les flics à coups de pierres et un marteau. Deux parmi les limiers ont été grièvement atteints au front et à la tête, relate Les Echos.
Les deux interpellés profitent de la situation de confusion, s’arrachent des mains des agents de police et disparaissent dans la nature avec les menottes aux poignets. De la même manière, les assaillants se sont volatilisés comme par enchantement.
Alerté, le chef de service a aussitôt déployé en renfort un commando, qui a débarqué sur les lieux de l’intifada et procédé à l’interpellation d’un individu pour nécessité d’enquête préliminaire.
Depuis lors, ils investissent jour et nuit le quartier en mission secrète et fouillent les coins et les recoins de la localité réputée criminogène, en vue d’identifier les auteurs de l’attaque aux projectiles et de les appréhender.
Quant aux deux policiers blessés, ils ont été évacués au centre national hospitalier de Pikine, sis au camp militaire de Thiaroye et très vite pris en charge par le personnel soignant.
L’un des flics a été finalement libéré. Tandis que le second a été retenu à l’hôpital pour subir d’autres examens crâniens. Le marteau et les deux cornets de l’herbe illicite ont été placés sous scellés.
Des malfaiteurs se sont attaqués, à coups de projectiles, aux agents de police qui étaient en service commandé dans le quartier Hamdalaye, situé à proximité du rond-point dénommé Fallou Warga de la commune.
C’est au cours d’une opération pédestre de sécurisation que les policiers opérant en civil ont investi, avant-hier, vers 20h, le secteur en question dans le but de traquer les brigands et de les mettre hors d’état de nuire.
Chemin faisant, les agents interpellent dans la rue deux individus à l’allure suspecte et les soumettent à une vérification d’identité de routine. Ils les fouillent ensuite et trouvent sur eux deux cornets de chanvre indien.
Sans tarder, ils les appréhendent, les maîtrisent par une paire de menottes et les conduisent vers la fourgonnette de police de service.
Mais, au moment de les embarquer, ils se heurtent soudainement à une farouche résistance d’autres malfaiteurs, qui surgissent de nulle part, hurlent de colère et tentent de contrarier le travail des flics.
Qui tiennent vaille que vaille à conduire les jeunes garçons et s’emploient en même temps à tuer dans l’œuf les velléités de rébellion de la meute de délinquants.
Face à la détermination des agents de terrain, les malfrats se radicalisent à leur tour, se dressent en bouclier pour leurs deux camarades et sonnent la rébellion. Ils ramassent des pierres et les balancent dans la direction des flics.
Ces derniers sortent de leurs gonds, tentent de repousser les assauts des assaillants et lancent la traque. Mais, ces derniers détalent comme des lapins et se dispersent aussitôt dans les ruelles du quartier.
Ils profitent du repli stratégique des policiers en civil, reviennent à la charge et poursuivent avec rage les flics à coups de pierres et un marteau. Deux parmi les limiers ont été grièvement atteints au front et à la tête, relate Les Echos.
Les deux interpellés profitent de la situation de confusion, s’arrachent des mains des agents de police et disparaissent dans la nature avec les menottes aux poignets. De la même manière, les assaillants se sont volatilisés comme par enchantement.
Alerté, le chef de service a aussitôt déployé en renfort un commando, qui a débarqué sur les lieux de l’intifada et procédé à l’interpellation d’un individu pour nécessité d’enquête préliminaire.
Depuis lors, ils investissent jour et nuit le quartier en mission secrète et fouillent les coins et les recoins de la localité réputée criminogène, en vue d’identifier les auteurs de l’attaque aux projectiles et de les appréhender.
Quant aux deux policiers blessés, ils ont été évacués au centre national hospitalier de Pikine, sis au camp militaire de Thiaroye et très vite pris en charge par le personnel soignant.
L’un des flics a été finalement libéré. Tandis que le second a été retenu à l’hôpital pour subir d’autres examens crâniens. Le marteau et les deux cornets de l’herbe illicite ont été placés sous scellés.