Partir s’offrir une partie de plaisir chez des prostituées et y trouver la mort, tel est le triste sort plein de contraste, qui a frappé N .E, planteur âgé d’environ 30 ans, domicilié dans la localité de Maféré, dans le département d’Aboisso.
Selon une source, dans la nuit du mercredi 1er au jeudi 02 octobre 2014, N.E qui voulait satisfaire sa libido, se déporte dans le quartier « Habitat » de ladite commune qui abrite un grand nombre de professionnels du sexe. Son choix se porte tout de suite sur une prostituée à qui on attribue les initiales A.L. Vu quelle répond parfaitement aux critères qui sont les siens pour s’offrir une partie enflammée.
Rapidement, voici la prostituée et son client qui s’enferment à double tour pour des ébats sexuels. On nous apprendra que N.E qui a un peu trop levé le coude auparavant, n’atteint pas l’orgasme. Mais comprenant qu’il a vraiment fait souffrir la catin qui n’en pouvait plus de supporter ses violents coups de reins, le planteur décide tout de même d’honorer la passe. Pour ce faire, il tend à la jeune dame, un billet de 2 000 F Cfa.
Sur le point de quitter les lieux, il réclame sa monnaie qui est de 1 000 F Cfa. Mais sa partenaire lui rétorque que pas un seul kopeck ne lui sera rétrocédé. Une chaude dispute qui s’engage alors entre les deux protagonistes, vire aussitôt à une bagarre. Se voyant en difficulté du fait de la corpulence de son vis-à -vis, la fille de joie bat le rappel de ses consœurs qui, par solidarité, viennent en masse. Munies de divers objets contondants, les «pétasses» déchaînées, se ruent sur le pauvre paysan sur lequel elles font abattre une pluie de coups.
A la suite de cette sauvage agression, N.E perd du sang en abondance. Ses bourreaux apeurés par son état inquiétant, se fondent dans la nature. Ce sont de bonnes volontés qui conduisent l’infortuné planteur très mal en point, à l’hôpital général de Maféré. Vu son état très critique, il est évacué d’urgence au Chr d’Aboisso. Hélas, il rend l’âme peu après. La police a ouvert une enquête, pour retrouver les meurtrières.
Source : People TV.Com
(Côte d’Ivoire)