Jeunes, enfants et vieux ont arboré des brassards rouges pour dénoncer l’insécurité et l’insalubrité créées par les travaux de l’entreprise chinoise. Cette entreprise chinoise est chargée de construire des travaux de lutte contre les inondations à Keur Massar, mais sa base se trouve à Darou Rahmane 4.
«Auparavant, camions de ramassage des ordures pouvaient accéder dans notre quartier. Mais depuis que l’entreprise s’est implantée ici, ce n’est plus possible. En plus il y a une insécurité totale. dès le coucher du soleil, nous sommes exposés aux agressions car les lieux ne sont pas éclairés. Ce que nous trouvons inadmissible», déplore Oumar Bâ.
Selon le délégué de quartier, cette situation ne peut plus continuer. «Nous vivons un vrai calvaire surtout quand il pleut. d’ici là, si l’entreprise ne réagit pas, nous allons sortir pour barrer la route et manifester notre indignation. Nous réclamons aussi des issues pour accéder à l’autre côté du quartier et la clôture de leur base pour nous sécuriser», soutient-il.
Cependant, les autorités locales et administratives se sont rendues sur les lieux. Elles ont promis de prendre les préoccupations des populations à bras le corps.
Tribune
«Auparavant, camions de ramassage des ordures pouvaient accéder dans notre quartier. Mais depuis que l’entreprise s’est implantée ici, ce n’est plus possible. En plus il y a une insécurité totale. dès le coucher du soleil, nous sommes exposés aux agressions car les lieux ne sont pas éclairés. Ce que nous trouvons inadmissible», déplore Oumar Bâ.
Selon le délégué de quartier, cette situation ne peut plus continuer. «Nous vivons un vrai calvaire surtout quand il pleut. d’ici là, si l’entreprise ne réagit pas, nous allons sortir pour barrer la route et manifester notre indignation. Nous réclamons aussi des issues pour accéder à l’autre côté du quartier et la clôture de leur base pour nous sécuriser», soutient-il.
Cependant, les autorités locales et administratives se sont rendues sur les lieux. Elles ont promis de prendre les préoccupations des populations à bras le corps.
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