Des quartiers de la banlieue n’en peuvent plus de vivre toujours les désagréments des inondations en cet hivernage qui est encore loin de «livrer» sa dernière pluie. Suite aux dégâts causés pas les pluies enregistrés hier, jeudi 2 septembre 2021, tôt le matin dans leusr localités, réveillant à nouveau la colère des habitants, des jeunes de Cambérène et alentours se sont fait entendre.
N’en pouvant de vivre avec ou dans les eaux, c’est selon, en atteste le décor présent des eaux qui peuvent atteindre des niveaux inquiétants par endroits pendant la pluie, ont barré la route exiger la prise en compte de leurs quratiers dans le Plan Orsec, informe Sud Fm. Ayant toujours en mémoire les circonstances dans lesquelles périssait, par noyade, un jeune, dans la zone, il y a un an, ils dénoncent le fait que, jusque-ici, rien n’ait été fait, pour endiguer leur mal, lit-on dans "Sud Quotidien".
Suffisant pour que ce groupe de jeunes étale son indignation sur la voie publique, en bloquant la circulation. «On s’est réveillé, encore une fois, dans une situation plus ou moins catastrophique. Et nous vivons ce calvaire depuis des années. Chaque fois que nous interpellons les autorités étatiques, c’est toujours des promesses», déplore leur porte-parole, Moussa Sow, exigeant une intervention du plan ORSEC, déclenché le 22 août dernier, pour la deuxième année consécutive au Sénégal, par le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Abdoulaye Diome, accompagné d’autorités administratives et locales, qui a fait le tour de quelques quartiers inondés de la banlieue, notamment Tivaouane-Diacksao et Keur Massar, le même jour.
N’en pouvant de vivre avec ou dans les eaux, c’est selon, en atteste le décor présent des eaux qui peuvent atteindre des niveaux inquiétants par endroits pendant la pluie, ont barré la route exiger la prise en compte de leurs quratiers dans le Plan Orsec, informe Sud Fm. Ayant toujours en mémoire les circonstances dans lesquelles périssait, par noyade, un jeune, dans la zone, il y a un an, ils dénoncent le fait que, jusque-ici, rien n’ait été fait, pour endiguer leur mal, lit-on dans "Sud Quotidien".
Suffisant pour que ce groupe de jeunes étale son indignation sur la voie publique, en bloquant la circulation. «On s’est réveillé, encore une fois, dans une situation plus ou moins catastrophique. Et nous vivons ce calvaire depuis des années. Chaque fois que nous interpellons les autorités étatiques, c’est toujours des promesses», déplore leur porte-parole, Moussa Sow, exigeant une intervention du plan ORSEC, déclenché le 22 août dernier, pour la deuxième année consécutive au Sénégal, par le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Abdoulaye Diome, accompagné d’autorités administratives et locales, qui a fait le tour de quelques quartiers inondés de la banlieue, notamment Tivaouane-Diacksao et Keur Massar, le même jour.