Au Sénégal, la presse a souvent fait écho de films pour adultes, comprenez
« films X » interdits aux moins de 18 ans, tournés dans la clandestinité.
Qui ne se souvient pas du film titré « hot bird » tourné dans un village du
Sénégal ? A l’époque tout le pays s’était levé comme un seul homme pour
fustiger de tels faits et la police avait ouvert une enquête.
Un autre exemple est celui de cette jeune danseuse Ndèye Guèye Junior, qui
fut jetée en pâture à l’opinion par une certaine Katia Ndoye, qui affirmait
avoir tourné des séquences de films X avec elle. Elle s’était vitre
retrouvée dans l’œil du cyclone.
Trainée devant la barre du tribunal populaire, Ndèye Guèye Junior a rejeté
en bloc les allégations de Katia. Mais le mal était déjà fait.
Le dernier fait que nous voulons rappeler c’est ces Sénégalais vivant en
Italie qui s’étaient relayés sur deux Italiennes tout en s’exprimant en
Wolof dans la vidéo. Malgré la distance, ces faits ont désagréablement
surpris l’opinion sénégalaise qui reste très puritaine.
Il faut dire qu’au Sénégal, pays foncièrement religieux, de tels actes ne
sauraient être tolérés. Et, les parents n’hésiteraient pas à renier leur
progéniture qui oserait franchir le rubicond.
Il faut cependant signaler que Le tourisme sexuel et la prostitution sur
Internet continuent de faire des ravages dans notre pays. S’il est vrai que
plusieurs sites pornographiques (on préfère ne pas les citer) exhibent sur
leurs pages d’ouverture des filles bien de chez nous avec ce message
choquant « voulez-vous b…au Sénégal ? ».
A Saly Portudal, un bled touristique du Sénégal on entend souvent parler de
ce business du sexe qui pervertit de jeunes filles pauvres qui tombent
souvent dans les pièges de ces prédateurs venus d’ailleurs avec des valises
pleines à craquer avec des liasses d’euros.
Dans la sous-région Ouest Africaine si on prend des pays comme la Côte
d’Ivoire et le Nigéria, il faut signaler que les réalités sont les mêmes.
Cependant, si les gens s’indignent et sont choqués que des filles bien de
chez nous (africaines) s’adonnent à de telles pratiques, ils visionnent
quand même ces produits. C’est le buzz.
En France un site en ligne (jacquieetmichel) a récemment
diffusé un film pour adulte intitulé : « Raina, 22 ans, Sénégalaise de
Fougères. » Il a déjà été vu par plus de deux millions de personnes. On ne
sait même pas si la jeune dame est Sénégalaise !
Il faut dire que plusieurs sites pornos français utilisent des actrices au
nom bien sénégalais pour vendre leurs vidéos alors que les filles, pour la
plus part des cas, ne sont pas Sénégalaises. Mais puisque coller la
nationalité sénégalaise à une fille est vendeur, alors ces sites pornos
n’hésitent pas à utiliser la provenance Sénégal.
La question est : Faut-il laisser passer de tels actes ? Devons-nous
laisser ces gens utiliser le nom de notre cher pays à des fins vilement
commerciales tout en salissant l’image de nos concitoyennes si l’on sait
que dans la plus part des cas c’est un pur mensonge ?
Les Sénégalais ont-ils perdu leur capacité d’indignation ?
En tous cas senepeople.com fustige et condamne avec la dernière énergie de
telles pratiques et exige le respect de la femme Sénégalaise. L’Etat
devrait se pencher sur la question.
buzzsenegal
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