A. Diallo ne se limitait pas à son boulot de vigile. Il organisait des rencontres entre des hommes et une jeune fille de 15 ans pour une partie de jambes en l’air. Mais, indique le quotidien «Bés Bi Le Jour», mal lui en a pris, puisqu’il a été démasqué par l’oncle de la jeune fille qui avait suivi sa nièce. Dans sa plainte introduite au commissariat du Point E ce 1 janvier 2022, l’oncle de la mineure a expliqué aux limiers que le vigile avait l’habitude, moyennant rétribution, de mettre sa nièce mineure avec des hommes.
C’est ainsi qu’il les a suivis pour en avoir le cœur net. Le 31 décembre, il a vu sa nièce sortir de l’une des chambres de cette auberge. Mais, dès qu’elle a aperçu son oncle, l’élève en classe de 5ème prend la poudre d’escampette en s’enfermant dans la chambre. Ecœuré par cette situation, l’oncle dit avoir tout de suite enjoint le vigile de faire sortir la fille. Mais, ce dernier lui a opposé un refus catégorique, allant même jusqu’à s’attaquer à lui. Finalement extirpée des lieux, la fille a tout de suite été conduite au commissariat du Point E, vers 2 h du matin, par son oncle.
3 hommes se relaient sur la mineure en une nuit
Sur place, la mineure S. S. a raconté aux limiers avoir fait la connaissance du vigile chez une de ses amies qui avait, elle aussi, été mise en rapport avec des hommes pour des rapports sexuels. À l’en croire, c’est lors de leur première rencontre que le vigile lui a dit qu’elle pouvait se faire beaucoup d’argent grâce à sa beauté. C’est dans ces circonstances qu’elle lui a demandé de venir dans cette auberge sise au Point E. La première fois, raconte-t-elle, ce dernier lui a présenté des hommes pour des rapports sexuels.
«Le 31 décembre, il m’a appelé pour me dire que je pouvais me faire beaucoup d’argent car c’était un jour de fête. Lorsque je suis venue vers 1 h du matin, il m’a installée dans une chambre et m’a fermée par derrière», a déclaré la jeune fille. Avant de poursuivre : «Quelques instants après, un homme est entré et a tout de suite commencé à se déshabiller. Lorsque je lui ai demandé ce qu’il faisait, il m’a rétorqué qu’il avait déjà donné l’argent pour entretenir des rapports sexuels avec moi.» En réalité, dans la même nuit, la jeune fille a subi les assauts de trois autres hommes. Et, au moment de rentrer, poursuit-elle, le vigile ne lui a remis que la «modique somme de 20 000 francs».
Le gérant de l’auberge et le vigile déjà condamnés
Face à de telles accusations, le vigile a tout nié, estimant qu’il n’a jamais été intermédiaire entre la fille et des hommes. Selon lui, c’est cette dernière qui est venue dans l’auberge de son propre gré et accompagnée d’un homme. Plus connu sous le nom de «Yoyo», le propriétaire de l’auberge, Zhang Xing Gho, qui a été entendu à titre de simple renseignement, a souligné, pour sa part, qu’il n’a jamais accepté l’accès d’une mineure dans son auberge.
Pour rappel, ce dernier avait été condamné en 2020, en même temps que son vigile, à 2 mois de prison. La maison de Yoyo, qui collaborait avec des filles de joie, envoyait des photos sexy au client potentiel, qui choisissait une partenaire pour une partie de jambes en l’air tarifée. Des faits qui avaient eu lieu en 2020, en pleine période d’état d’urgence assorti de couvre-feu. Alertée par le voisinage, la police du Point E avait fait une descente à la maison close. Et, sur place, les limiers avaient trouvé une prostituée en pleins ébats avec un partenaire et un lot de 600 préservatifs destinés aux clients.
C’est ainsi qu’il les a suivis pour en avoir le cœur net. Le 31 décembre, il a vu sa nièce sortir de l’une des chambres de cette auberge. Mais, dès qu’elle a aperçu son oncle, l’élève en classe de 5ème prend la poudre d’escampette en s’enfermant dans la chambre. Ecœuré par cette situation, l’oncle dit avoir tout de suite enjoint le vigile de faire sortir la fille. Mais, ce dernier lui a opposé un refus catégorique, allant même jusqu’à s’attaquer à lui. Finalement extirpée des lieux, la fille a tout de suite été conduite au commissariat du Point E, vers 2 h du matin, par son oncle.
3 hommes se relaient sur la mineure en une nuit
Sur place, la mineure S. S. a raconté aux limiers avoir fait la connaissance du vigile chez une de ses amies qui avait, elle aussi, été mise en rapport avec des hommes pour des rapports sexuels. À l’en croire, c’est lors de leur première rencontre que le vigile lui a dit qu’elle pouvait se faire beaucoup d’argent grâce à sa beauté. C’est dans ces circonstances qu’elle lui a demandé de venir dans cette auberge sise au Point E. La première fois, raconte-t-elle, ce dernier lui a présenté des hommes pour des rapports sexuels.
«Le 31 décembre, il m’a appelé pour me dire que je pouvais me faire beaucoup d’argent car c’était un jour de fête. Lorsque je suis venue vers 1 h du matin, il m’a installée dans une chambre et m’a fermée par derrière», a déclaré la jeune fille. Avant de poursuivre : «Quelques instants après, un homme est entré et a tout de suite commencé à se déshabiller. Lorsque je lui ai demandé ce qu’il faisait, il m’a rétorqué qu’il avait déjà donné l’argent pour entretenir des rapports sexuels avec moi.» En réalité, dans la même nuit, la jeune fille a subi les assauts de trois autres hommes. Et, au moment de rentrer, poursuit-elle, le vigile ne lui a remis que la «modique somme de 20 000 francs».
Le gérant de l’auberge et le vigile déjà condamnés
Face à de telles accusations, le vigile a tout nié, estimant qu’il n’a jamais été intermédiaire entre la fille et des hommes. Selon lui, c’est cette dernière qui est venue dans l’auberge de son propre gré et accompagnée d’un homme. Plus connu sous le nom de «Yoyo», le propriétaire de l’auberge, Zhang Xing Gho, qui a été entendu à titre de simple renseignement, a souligné, pour sa part, qu’il n’a jamais accepté l’accès d’une mineure dans son auberge.
Pour rappel, ce dernier avait été condamné en 2020, en même temps que son vigile, à 2 mois de prison. La maison de Yoyo, qui collaborait avec des filles de joie, envoyait des photos sexy au client potentiel, qui choisissait une partenaire pour une partie de jambes en l’air tarifée. Des faits qui avaient eu lieu en 2020, en pleine période d’état d’urgence assorti de couvre-feu. Alertée par le voisinage, la police du Point E avait fait une descente à la maison close. Et, sur place, les limiers avaient trouvé une prostituée en pleins ébats avec un partenaire et un lot de 600 préservatifs destinés aux clients.