Au niveau de la Convergence des jeunesses républicaines, les incendies des véhicules et maisons de ministres comme Serigne Mbaye Thiam, de Matar Bâ, de Latif Coulibaly, entre autres, ne sont que du pur banditisme. Alors, pour Moussa Sow, patron de la Cojer et cie, ils parlent de riposte en prônant tout simplement la réponse par la loi du Talion. Montant au créneau hier soir, ils ont appelé l’Etat à prendre ses responsabilités sinon ils prendront les leurs pour apporter la réponse à ce grand banditisme. « Si l’Etat ne prend pas ses responsabilités, on va brûler leurs maisons et saccager leurs biens », indique un responsable de la Cojer, sous le sceau de l’anonymat. Pour ce dernier, « ce sera désormais œil pour œil, dent pour dent ».
Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il estime que le leader de Pastef qui a un blocus devant son domicile, est plus protégé que les autres responsables du parti au pouvoir. Le coordonnateur de la Cojer, Moussa Sow a souhaité lancé un message aux présidents Khalifa Sall, Bougane Guèye Dany… à raisonner Ousmane Sonko, pour arrêter cette défiance envers les autorités et d’utiliser la jeunesse comme chair à canon dans son combat politique.
« Nous sommes dans un état de droit et force restera à la loi. Les forces de défense et de sécurité vont jouer leur rôle de maintenir la sécurité. Ils vont nous trouver sur le terrain, comme c’était le cas à Kolda, à Vélingara, à Tamba, à Kaffrine et à Kaolack », a indiqué Moussa Sow. «Nous sommes républicains mais trop, c’est trop. Ils nous trouveront désormais sur le chemin » conclut-il, selon "Le Témoin".
Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il estime que le leader de Pastef qui a un blocus devant son domicile, est plus protégé que les autres responsables du parti au pouvoir. Le coordonnateur de la Cojer, Moussa Sow a souhaité lancé un message aux présidents Khalifa Sall, Bougane Guèye Dany… à raisonner Ousmane Sonko, pour arrêter cette défiance envers les autorités et d’utiliser la jeunesse comme chair à canon dans son combat politique.
« Nous sommes dans un état de droit et force restera à la loi. Les forces de défense et de sécurité vont jouer leur rôle de maintenir la sécurité. Ils vont nous trouver sur le terrain, comme c’était le cas à Kolda, à Vélingara, à Tamba, à Kaffrine et à Kaolack », a indiqué Moussa Sow. «Nous sommes républicains mais trop, c’est trop. Ils nous trouveront désormais sur le chemin » conclut-il, selon "Le Témoin".