Pour l’invité de l’émission Jury du dimanche (Jdd), ce 2 mai 2021, sur I-radio, ce qui est intéressant dans cette ordonnance, c’est que « ce chômage technique était encadré à hauteur de 70% du salaire des revenus du travailleur ». Ce qui, à ses yeux, n’était pas évident si on se réfère strictement aux textes qui régissent les relations de travail. « Donc, durant cette période, l’ordonnance a bien fait ses effets mais c’est après la durée couverte par lordonnnace qu’il y a eu des abus avec des licenciements un peu partout », a-t-il déploré.
Les 1238 licenciés, selon un rapport, « sont des travailleurs qui ont été licenciés, perdu leur emploi à cause de l’impact de la pandémie. Mais si on tient compte de l’activité économique c’était beaucoup plus que ça », a-t-il relevé.
Donnant le sentiment du CNTS-FC sur ces licenciements, Cheikh Seck de déclarer : « Tout au début de la pandémie, notre position c’était d’insister sur la nécessité pour le Chef de l’Etat de préserver les emplois. On a surveillé de très près la première ordonnance ».
A en croire M.Seck, il y a eu des règlements de compte, des choix ciblés. « Il y a eu du n’importe quoi dans le départ au chômage technique des travailleurs », a-t-il regretté.
« Nous comptons sur la relance très rapide de l’économie pour le retour de l’emploi »
Le secrétaire général du CNTS-FC prévient que leur organisation syndicale ne compte pas laisser les licenciés à leur sort. Cheikh Diop et ses camarades comptent « sur la relance très rapide de l’économie pour qu’ils soient prioritaires pour le retour de l’emploi ».
Par ailleurs, Cheikh Diop dit comprendre les difficultés que vivent les entreprises. Ainsi, il pense que l’entreprise sénégalaise ne doit plus fonctionner comme c’est le cas aujourd’hui.
« On ne peut pas comprendre qu’une entreprise qui a 50 ans de vie active, qui a accumulé des bénéfices durant 50 ans, ne peut plus payer de salaire en trois ou quatre mois. Ce sont des formes de gestion que nous devons revoir. Une entreprise est certes un bien privé mais, une entreprise a une autre notion dans l’économie. Il y a une mission de service public. Donc, le management des entreprises doit être revu », a-t-il lancé, plaidant pour qu’on aille vers des « consortiums forts ».
Les 1238 licenciés, selon un rapport, « sont des travailleurs qui ont été licenciés, perdu leur emploi à cause de l’impact de la pandémie. Mais si on tient compte de l’activité économique c’était beaucoup plus que ça », a-t-il relevé.
Donnant le sentiment du CNTS-FC sur ces licenciements, Cheikh Seck de déclarer : « Tout au début de la pandémie, notre position c’était d’insister sur la nécessité pour le Chef de l’Etat de préserver les emplois. On a surveillé de très près la première ordonnance ».
A en croire M.Seck, il y a eu des règlements de compte, des choix ciblés. « Il y a eu du n’importe quoi dans le départ au chômage technique des travailleurs », a-t-il regretté.
« Nous comptons sur la relance très rapide de l’économie pour le retour de l’emploi »
Le secrétaire général du CNTS-FC prévient que leur organisation syndicale ne compte pas laisser les licenciés à leur sort. Cheikh Diop et ses camarades comptent « sur la relance très rapide de l’économie pour qu’ils soient prioritaires pour le retour de l’emploi ».
Par ailleurs, Cheikh Diop dit comprendre les difficultés que vivent les entreprises. Ainsi, il pense que l’entreprise sénégalaise ne doit plus fonctionner comme c’est le cas aujourd’hui.
« On ne peut pas comprendre qu’une entreprise qui a 50 ans de vie active, qui a accumulé des bénéfices durant 50 ans, ne peut plus payer de salaire en trois ou quatre mois. Ce sont des formes de gestion que nous devons revoir. Une entreprise est certes un bien privé mais, une entreprise a une autre notion dans l’économie. Il y a une mission de service public. Donc, le management des entreprises doit être revu », a-t-il lancé, plaidant pour qu’on aille vers des « consortiums forts ».