« Des éléments tapis dans l’ombre en profitent pour instrumentaliser des femmes. Ils leur donnent 60 000 francs CFA par mois pour les encourager à porter le voile intégral. Ils disposent d’une forte capacité de persuasion. Grâce à leur message de propagande, ils réussissent à en endoctriner plusieurs. Je n’en revenais pas quand je l’ai appris d’une femme rencontrée en Gambie. Des recherches poussées que j’ai menées m’ont donné raison », a-t-il dit.
« Ceux qui pilotent ces réseaux n’avancent pas à visage découvert. Il faut veiller à ce que les fondamentaux de notre société ne soient pas mis en péril. Nos gouvernants doivent faire preuve de courage » ajoute t-il.
Selon lui, la plupart des femmes qui acceptent de porter le burqa ont un niveau d’instruction très faible, sont sans emploi ou leurs maris ont des revenus modestes. Et les terroristes profitent de ces facteurs de vulnérabilité.
« Ceux qui pilotent ces réseaux n’avancent pas à visage découvert. Il faut veiller à ce que les fondamentaux de notre société ne soient pas mis en péril. Nos gouvernants doivent faire preuve de courage » ajoute t-il.
Selon lui, la plupart des femmes qui acceptent de porter le burqa ont un niveau d’instruction très faible, sont sans emploi ou leurs maris ont des revenus modestes. Et les terroristes profitent de ces facteurs de vulnérabilité.