Une bande de filles de joie avait loué un appartement luxueux où elles recevaient leurs clients.
Elles appâtaient leurs proies avec des images obscènes publiées sur un site à caractère pornographique dans lequel elles affichaient leurs numéros de téléphones.
À en croire le quotidien L’Observateur, les prévenues (Khoudia, Tangue et Maïmouna) ont été piégées par des gendarmes en civil qui ont tenté de les joindre par téléphone.
Après un bref échange, Khoudia, le cerveau de réseau, convient d’un RV pour une séance de massage avec le pandore.
Le soir, à 18h, l’agent accompagné de deux collègues, s’invitent dans l’appartement des prostituées et concluent des séances de «Massage + agrémenté par des conjonctions sexuelles».
Les agents en civil révèlent leur véritable identité et mettent la main sur les filles.
Arrêtées, elles ont été jugées, hier, au tribunal des flagrants délits de Dakar pour diffusion d’images obscènes, défaut de carnet sanitaire. Mais, elles ont finalement été toutes libérées.
Elles appâtaient leurs proies avec des images obscènes publiées sur un site à caractère pornographique dans lequel elles affichaient leurs numéros de téléphones.
À en croire le quotidien L’Observateur, les prévenues (Khoudia, Tangue et Maïmouna) ont été piégées par des gendarmes en civil qui ont tenté de les joindre par téléphone.
Après un bref échange, Khoudia, le cerveau de réseau, convient d’un RV pour une séance de massage avec le pandore.
Le soir, à 18h, l’agent accompagné de deux collègues, s’invitent dans l’appartement des prostituées et concluent des séances de «Massage + agrémenté par des conjonctions sexuelles».
Les agents en civil révèlent leur véritable identité et mettent la main sur les filles.
Arrêtées, elles ont été jugées, hier, au tribunal des flagrants délits de Dakar pour diffusion d’images obscènes, défaut de carnet sanitaire. Mais, elles ont finalement été toutes libérées.