Selon la procureure, les enquêteurs auraient les preuves matérielle, que Paul Rafanoharana, un Franco-Malgache, et Philippe François, un Français prévoyaient d’assassiner de « hautes personnalités politiques », dont le président de la République, Andry Rajoelina.
La procureure n’apporte pas plus de précision sur l’arrestation, ni sur ces preuves, pas plus que sur procédure judiciaire en cours.
Selon une source proche du dossier, les deux hommes étaient toujours en garde à vue mercredi et jusqu’à 18 heures, les avocats n’ont pas pu voir leurs clients.
Philippe François et Paul Rafanoharana sont tous les deux Saint-Cyriens. Le premier était à la tête d’un fond d’investissement, le deuxième est le conseiller de Monseigneur Odon, l’archevêque d’Antananarivo. Le nom de Paul Rafanoharana avait circulé récemment comme potentiel futur Premier ministre en cas de remaniement.
D’après une source qui préfère rester anonyme, Paul Rafanoharana a été interpellé par une dizaine d’hommes armés à son domicile mardi soir. Philippe François l’a été dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Ivato alors qu’il s’apprêtait à partir pour la France.
RFI
La procureure n’apporte pas plus de précision sur l’arrestation, ni sur ces preuves, pas plus que sur procédure judiciaire en cours.
Selon une source proche du dossier, les deux hommes étaient toujours en garde à vue mercredi et jusqu’à 18 heures, les avocats n’ont pas pu voir leurs clients.
Philippe François et Paul Rafanoharana sont tous les deux Saint-Cyriens. Le premier était à la tête d’un fond d’investissement, le deuxième est le conseiller de Monseigneur Odon, l’archevêque d’Antananarivo. Le nom de Paul Rafanoharana avait circulé récemment comme potentiel futur Premier ministre en cas de remaniement.
D’après une source qui préfère rester anonyme, Paul Rafanoharana a été interpellé par une dizaine d’hommes armés à son domicile mardi soir. Philippe François l’a été dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Ivato alors qu’il s’apprêtait à partir pour la France.
RFI