Les travailleurs de l’Autoroute Ila Touba sont très en colère contre leur employeur. Regroupés dans un collectif, ils dénoncent des conditions de travail inhumaines et inacceptables.
‘’Nous dénonçons les conditions de travail et le forcing dictatorial auxquels nous faisons face depuis la mise en service de l’autoroute (20 décembre 2018) et le 01er mars 2019, pour le service payant, date de signature des premiers contrats. En effet, depuis cette date du 1er mars de l’année 2019, nous faisons l’objet de toutes formes d’injustice et de brimades, avec des conditions sociales de travail inhumaines et inacceptables’’, renseigne un communiqué parvenu à ‘’L’As’
Dénonçant l’absence d’eau potable dans les gares, ils s’indignent également contre le non-paiement de primes de transport et de mise en place de moyen de transport, pour les travailleurs qui habitent dans les villes telles que Touba, Diourbel, Bambey, Khombole, entre autres localités.
‘’On tente de nous imposer, avec un nouvel intérimaire, repreneur de la gestion du personnel, qui a pour mission principale de diminuer et faire remplacer le personnel par de nouveaux travailleurs, en plus d’une diminution drastique de salaires, dont le brut avec avantages est inférieur au net à payer de son prédécesseur. En plus de cette proposition lâche et irraisonnable, il propose un contrat d’essai de 3 mois à l’ensemble des catégories de travailleurs, que sont les receveurs (agents en charge de la perception des recettes, la distribution des tickets ou cartes d’entrée aux gares de péage‘’, informe le texte.
Ainsi, le collectif des travailleurs de l’Autoroute Ila Touba exige ‘’l‘amélioration de leurs conditions de travail, avec la proposition de contrats à longue durée à défaut de CDI, après 3 CDD successifs’’.
Il réclame également l’augmentation des salaires de toutes les catégories de travailleurs et la mise en place d’un comité restreint de travailleurs répartis équitablement aux catégories de travailleurs, de gares ou de tronçons, pour servir d’interlocuteurs.
Les travailleurs veulent aussi ‘’le paiement de toutes les primes et/ou autres indemnités leur revenant de droit et de toutes les heures supplémentaires effectuées en sus du quantum horaire requis’’. Ils demandent enfin la fourniture en eau potable dans toutes les gares ou lieux de travail et le respect légal de la date de paiement des salaires avant les dates des échéances.
L’As
‘’Nous dénonçons les conditions de travail et le forcing dictatorial auxquels nous faisons face depuis la mise en service de l’autoroute (20 décembre 2018) et le 01er mars 2019, pour le service payant, date de signature des premiers contrats. En effet, depuis cette date du 1er mars de l’année 2019, nous faisons l’objet de toutes formes d’injustice et de brimades, avec des conditions sociales de travail inhumaines et inacceptables’’, renseigne un communiqué parvenu à ‘’L’As’
Dénonçant l’absence d’eau potable dans les gares, ils s’indignent également contre le non-paiement de primes de transport et de mise en place de moyen de transport, pour les travailleurs qui habitent dans les villes telles que Touba, Diourbel, Bambey, Khombole, entre autres localités.
‘’On tente de nous imposer, avec un nouvel intérimaire, repreneur de la gestion du personnel, qui a pour mission principale de diminuer et faire remplacer le personnel par de nouveaux travailleurs, en plus d’une diminution drastique de salaires, dont le brut avec avantages est inférieur au net à payer de son prédécesseur. En plus de cette proposition lâche et irraisonnable, il propose un contrat d’essai de 3 mois à l’ensemble des catégories de travailleurs, que sont les receveurs (agents en charge de la perception des recettes, la distribution des tickets ou cartes d’entrée aux gares de péage‘’, informe le texte.
Ainsi, le collectif des travailleurs de l’Autoroute Ila Touba exige ‘’l‘amélioration de leurs conditions de travail, avec la proposition de contrats à longue durée à défaut de CDI, après 3 CDD successifs’’.
Il réclame également l’augmentation des salaires de toutes les catégories de travailleurs et la mise en place d’un comité restreint de travailleurs répartis équitablement aux catégories de travailleurs, de gares ou de tronçons, pour servir d’interlocuteurs.
Les travailleurs veulent aussi ‘’le paiement de toutes les primes et/ou autres indemnités leur revenant de droit et de toutes les heures supplémentaires effectuées en sus du quantum horaire requis’’. Ils demandent enfin la fourniture en eau potable dans toutes les gares ou lieux de travail et le respect légal de la date de paiement des salaires avant les dates des échéances.
L’As