« Il n’a pas compris ce qu’il faisait »
L’avocat du mari, Dmitry Spaskin, a déclaré lors du procès que «le mari avait perdu la capacité de contrôler ses actes. Il n’a pas compris ce qu’il faisait». Les hurlements du violeur réveillent alors tout le quartier et les riverains se précipitent sur place.
«Après l’incident, le mari était sous le choc et est parti. Il a marché environ 13 kilomètres et a atteint un village voisin. Là , il a rencontré une connaissance et a demandé à le conduire à un poste de police où il a tout avoué», raconte l’avocat.
Emmené à l’hôpital, l’agresseur a été opéré mais il pourrait ne jamais retrouver l’usage de son pénis. «Il a expliqué s’être fait plaquer par sa petite amie la semaine précédente. Le jour de l’incident, il a bu un litre de vodka. Il refuse d’en dire plus pour l’instant», a expliqué le procureur.
La police a ouvert une enquête sur le viol. Le violeur pourrait être condamné à 5 ans de prison, 3 de moins que le mari qui risque une peine de 8 ans.
«N’importe quelle autre femme aurait pu devenir la proie du violeur. S’il ne l’avait pas fait, il aurait continué à agresser d’autres femmes», ont souligné les femmes du village, qui soutiennent le mari de la victime.
L’avocat du mari, Dmitry Spaskin, a déclaré lors du procès que «le mari avait perdu la capacité de contrôler ses actes. Il n’a pas compris ce qu’il faisait». Les hurlements du violeur réveillent alors tout le quartier et les riverains se précipitent sur place.
«Après l’incident, le mari était sous le choc et est parti. Il a marché environ 13 kilomètres et a atteint un village voisin. Là , il a rencontré une connaissance et a demandé à le conduire à un poste de police où il a tout avoué», raconte l’avocat.
Emmené à l’hôpital, l’agresseur a été opéré mais il pourrait ne jamais retrouver l’usage de son pénis. «Il a expliqué s’être fait plaquer par sa petite amie la semaine précédente. Le jour de l’incident, il a bu un litre de vodka. Il refuse d’en dire plus pour l’instant», a expliqué le procureur.
La police a ouvert une enquête sur le viol. Le violeur pourrait être condamné à 5 ans de prison, 3 de moins que le mari qui risque une peine de 8 ans.
«N’importe quelle autre femme aurait pu devenir la proie du violeur. S’il ne l’avait pas fait, il aurait continué à agresser d’autres femmes», ont souligné les femmes du village, qui soutiennent le mari de la victime.