Les victimes de cet incendie sont les suivantes :
Fatoumata Binta Diallo, âgée d'environ 21 ans, fille de Amadou et de Sira Bâ, élève résidant à la Medina.
Oumou Coultoumy Diallo, âgée de 7 ans, fille de Amadou et de Aïssata Bâ, élève résidant également à la Medina.
Selon le témoignage de Mamadou Yero Diallo, les deux filles ont quitté Kounoune pour rentrer chez elles à Colobane. En cours de route, Fatoumata Binta Diallo a appelé son amie Aïcha Diallo, pour informer qu'elle avait quitté Kounoune et qu'elle se trouvait dans le bus Tata (ligne 65) à hauteur de la gare des Baux maraîchers. Elle avait précisé qu'elle serait à la maison dans les 30 minutes suivantes. Cependant, depuis cet appel, personne n'a eu de ses nouvelles.
La famille a appris qu'un bus en provenance de Kounoune, a été incendié à hauteur de Yarakh et que deux personnes auraient péri à l'intérieur. La famille s'est rendue à l'hôpital de Pikine, mais leurs proches ne figuraient pas parmi les blessés. Ils ont alors craint que les victimes soient les personnes qu'ils recherchent. C'est ainsi qu'ils ont pris la décision de faire une déclaration à la brigade de Hann.
Actuellement, les corps sans vie des victimes sont à l'hôpital Dalal Diam, à Guédiawaye.
Fatoumata Binta Diallo, âgée d'environ 21 ans, fille de Amadou et de Sira Bâ, élève résidant à la Medina.
Oumou Coultoumy Diallo, âgée de 7 ans, fille de Amadou et de Aïssata Bâ, élève résidant également à la Medina.
Selon le témoignage de Mamadou Yero Diallo, les deux filles ont quitté Kounoune pour rentrer chez elles à Colobane. En cours de route, Fatoumata Binta Diallo a appelé son amie Aïcha Diallo, pour informer qu'elle avait quitté Kounoune et qu'elle se trouvait dans le bus Tata (ligne 65) à hauteur de la gare des Baux maraîchers. Elle avait précisé qu'elle serait à la maison dans les 30 minutes suivantes. Cependant, depuis cet appel, personne n'a eu de ses nouvelles.
La famille a appris qu'un bus en provenance de Kounoune, a été incendié à hauteur de Yarakh et que deux personnes auraient péri à l'intérieur. La famille s'est rendue à l'hôpital de Pikine, mais leurs proches ne figuraient pas parmi les blessés. Ils ont alors craint que les victimes soient les personnes qu'ils recherchent. C'est ainsi qu'ils ont pris la décision de faire une déclaration à la brigade de Hann.
Actuellement, les corps sans vie des victimes sont à l'hôpital Dalal Diam, à Guédiawaye.